Ouvir o texto...

segunda-feira, 3 de novembro de 2014

The Neue Nationalgalerie was built by Mies van der Rohe and is dedicated to the art of the 20th century.

It contains selections from the Nationalgalerie’s diverse collection, which is also on show at five further locations: Alte Nationalgalerie, Friedrichswerdersche Kirche, Museum Berggruen, Sammlung Scharf-Gerstenberg and Hamburger Bahnhof – Museum für Gegenwart – Berlin.

The Neue Nationalgalerie was opened in 1968 and is the last major construction completed by the luminary of modern architecture, Ludwig Mies van der Rohe. The architect’s long-term preoccupation with creating fluid, open spaces culminated in the design of the glazed upper pavilion of the gallery. The architect died shortly after the building’s inauguration. With its steel roof and gracefully austere architectural vernacular, the Neue Nationalgalerie not only stands as an icon of modernism, but as testament to a visionary architect of the 20th century. When it was built, the museum stood on the edge of what was then West Berlin. It was constructed as one of the vital cornerstones of the Kulturforum, as planned by another great architect of the postwar period, Hans Scharoun. Thanks to the reunification of Germany and of Berlin, and the ensuing hive of construction activity at Potsdamer Platz, the Neue Nationalgalerie no longer stands in an abandoned wasteland but in the busy heart of the city.

The history of the Neue Nationalgalerie is inextricably linked to the political division of Germany and the city of Berlin that resulted as a consequence of the Second World War. The Nationalgalerie’s collection, originally on display on the Museumsinsel Berlin and later, in the 1920s, also in the Kronprinzen-Palais on Unter den Linden, was initially managed by the Greater Berlin Authority in the years immediately following the war. The founding in 1949 of two German states, with two diametrically opposed political systems and differing ideologies concerning art and its role in society, marked the end of a unified collection. The West Berlin authorities took strides to rebuild the collection by setting up a ‘Gallery of the 20th Century’. Further to this, parts of the Nationalgalerie’s original collection of 19th-century art were found in West Germany after being taken from Berlin in the chaos during and immediately following the war. In 1962 Mies van der Rohe was commissioned to design a new museum building to house both this collection of 19th century art and the ‘Gallery of the 20th Century’. In September 1965, the architect came to Berlin for the laying of the foundation stone. Two years later he also personally attended the most spectacular construction stage: the hydraulic raising into place of the gigantic steel roof. The building was opened on 15 September 1968 and bore the name Neue Nationalgalerie (New National Gallery). Its name signalled the departure from the old and the start of a new chapter in the cultural rebirth of West Berlin.







The building’s architectural structure has remained virtually unchanged ever since. The urban setting in which it stands, however, has undergone radical changes: the Staatsbibliothek (Berlin State Library) emerged at almost the same time as the Neue Nationalgalerie, on the opposite side of Potsdamer Strasse, and was followed by the Kammermusiksaal (or ‘chamber music hall’) erected next to the Philharmonie, which by this point was already standing. These buildings were joined over time by a cluster of museums in the form of the Kulturforum, and, after German reunification, by the urban redevelopment of Potsdamer Platz.

After a period of continual use for more than 40 years, the Neue Nationalgalerie now requires renovation. The British architect David Chipperfield was entrusted with this task in 2012, after his brilliant work on restoring the Neues Museum. He is currently also in charge of creating the new visitor centre on the Museumsinsel Berlin. During the necessary renovations, the Neue Nationalgalerie is expected to be closed in 2015 for several years. 
 
 
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.smb.museum/en/museums-and-institutions/neue-nationalgalerie/home.html?tx_smb_pi1[filterMuseum]=17&cHash=0f2ba1dc74ee3228f6520e7546b3694f


Grabuge au Musée du cinéma de Moscou - La nomination de la nouvelle directrice est si critiquée que 22 salariés ont préféré démissionner.

La nomination de la nouvelle directrice est si critiquée que 22 salariés ont préféré démissionner.


Les réalisateurs russes Sergei Eisenstein et Eduard Tisse. (Photo: The Kobal Collection)
Dans une lettre adressée au ministre de la Culture russe, Vladimir Médinski, tous les spécialistes de l’équipe travaillant au musée national du Cinéma de Moscou (conservateurs, archivistes et spécialistes de programmation de cinéma), soit 22 personnes, ont annoncé qu’ils quittaient leurs fonctions afin de marquer leur profond désaccord avec la directrice, Larissa Solonitsyna.Sur le même sujet


Patriarche. Cette jeune femme, ancienne rédactrice en chef du journal SK Novosti, organe de presse de l’Union des cinéastes de Russie, avait été nommée par le ministre en juillet en remplacement de l’illustre Naoum Kleiman qui présidait au bon fonctionnement du lieu depuis vingt-cinq ans. Kleiman, 75 ans, spécialiste d’Eisenstein, avait appris en juillet 2013 que ses attributions de directeur du musée ne seraient pas renouvelées. A l’époque, Alexandre Sokourov et Quentin Tarantino avaient officiellement protesté, apportant leur soutien à Kleiman et jugeant désolante une décision qui, par ailleurs, était prise dans un cadre de relocalisation très aléatoire des collections du musée (pas moins de 400 000 pièces d’archives). En novembre 2013, le très estimé patriarche est finalement maintenu et nommé au poste honorifique de président du musée, mais on lui adjoint les services de Larissa Solonitsyna.

Dans la lettre ouverte des démissionnaires, cette dernière est décrite comme une personne autoritaire et pratiquant une gestion opaque du pilotage de l’institution : «Sans avoir la moindre expérience du travail d’un musée et sans avoir fait connaissance avec nos collections, nos méthodes de rassemblement et de classement, la directrice s’est permis à plusieurs reprises des doutes injustifiés et insultants à l’égard du caractère scientifique de notre travail.» Une «atmosphère d’hostilité» qu’a encore aggravée l’arrivée récente d’un juriste mandaté par le ministère, et qui serait expert en «liquidation d’entreprises». Les employés sont convaincus que se trame une fermeture pure et simple du musée.

La confiance dans l’autorité de tutelle est elle-même des plus basses dans la mesure où Médinski est un chantre du nationalisme poutinien, qu’il ne juge pas la liberté d’expression artistique particulièrement primordiale dès lors qu’elle attente aux valeurs slaves : «Il est mieux de ne pas soutenir les cours de hatha yoga et de feng shui mais plutôt les cours de technologies traditionnelles, comme les sports de combat nationaux ou les cours de cuisine nationale», déclarait-il en juillet. L’homme s’est également fait remarquer en rédigeant une loi interdisant les jurons dans les films, au théâtre et à la télévision.

«Confiance». Un mouvement de soutien cinéphile a commencé à se déployer depuis quelques jours. Une lettre commune adressée au Premier ministre, Dmitri Medvedev, et cosignée du réalisateur Mark Cousins, de l’actrice Tilda Swinton et du délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux, a été postée sur le site de la revue Sight and Sound : «Ce musée n’est pas seulement le vôtre, c’est aussi le nôtre. Et nous avons confiance en Kleiman et en son équipe. Ils ont fait leurs preuves et nous pouvons apprendre de leur expérience. Respectez leur savoir et leur intégrité.»
 
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://next.liberation.fr/cinema/2014/11/02/a-moscou-le-musee-du-cinema-capitule_1134708

Le musée Réattu d'Arles lance un appel aux dons pour sauver un tableau de Fabre

Le musée Réattu d'Arles a besoin de 30 000 euros pour pouvoir restaurer une oeuvre majeure de François Xavier Fabre : "la prédication de Saint Jean Baptiste dans le désert". Le musée a fait appel au financement participatif, afin que chaque amateur d'art puisse participer.



Une restauration vitale mais onéreuse : il faut 30 000€ pour pouvoir restaurer "la prédication de Saint Jean Baptiste dans le désert", une oeuvre majeure de FX Fabre.


C'est une pratique de plus en plus courante : le financement participatif ou crowdfunding en anglais. Toute personne peut financer la production d'un disque ou d'un film. Ce qui est nouveau aujourd'hui, c'est le financement de restauration d'oeuvres.

Le Musée du Louvre est précurseur en la matière et sur ce même principe le Musée Réattu d'Arles s'est lancé dans l'aventure : un appel aux dons a été fait pour restaurer un tableau du 18è siècle : la "Prédication de St Jean Baptiste dans le désert" de François-Xavier Fabre.

Chaque mécène aura quelques avantages : son nom inscrit dans le musée et des informations détaillées sur la restauration en cours. Mais au-delà de ces privilèges, c'est aussi un moyen pour le public de s'approprier une oeuvre et un patrimoine.



Appel aux dons à Arles pour restaurer un tableau de Fabre
Reportage : J. Hessas et F.Renard.



Le musée Fabre de Montpellier

Principal musée d'art de Montpellier, le musée Fabre a été créé à la suite d'une proposition en 1824 du baron François-Xavier Fabre (1766-1837), peintre et collectionneur, de faire don à la ville de ses collections, à condition qu’elles soient à l'origine d’un musée.

Le maire de l'époque, Ange-Jean-Michel-Bonaventure Marquis de Dax d’Axat, premier président de la Société des Beaux-Arts de Montpellier et ami du baron Fabre, est aussi un amateur d’art. Il sera l'initiateur de la création du musée.

En janvier 1825 il réunit un conseil municipal extraordinaire au cours duquel la donation est validée par un vote unanime. Après trois ans de travaux financés par la municipalité, le musée ouvre ses portes le 3 décembre 18283.

Le Musée Fabre est l'un des plus importants musées du Sud de la France. Il a le statut de musée de France, au sens de la loi n° 2002-5 du 4 janvier 2002.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2014/11/02/le-musee-reattu-d-arles-lance-un-appel-aux-dons-pour-sauver-un-tableau-de-fabre-583198.html

O Prêmio Brasil Criativo é a premiação oficial da Economia Criativa Brasileira. Visa contemplar empreendedores criativos e incentivá-los a impactarem positivamente a vida das pessoas.

O prêmio abrange cinco campos de interesse da economia criativa: Expressões culturais (culturas populares, culturas indígenas, cultura afro-brasileira, artesanato, artes visuais e arte digital), Criações Culturais e Funcionais (arquitetura, design, moda, games e gastronomia); Audiovisual/Livro Literatura e Leitura (cinema e vídeo, publicações em mídias digitais e publicações em mídias impressas); Patrimônios (patrimônio material, patrimônio imaterial, arquivos e museus) e Artes de espetáculo (dança, música, circo e teatro); além do prêmio de Reconhecimento por Trabalho Consagrado.

Babel das Artes é semifinalista do Prêmio Brasil Criativo

Que felicidade, fomos selecionados para o
Prêmio Brasil Criativo, do Ministério da Cultura. A votação para a escolha de três entre os seis selecionados acontece na internet por meio da rede social Facebook. A escolha final é feita por uma curadoria composta por 30 especialistas, entre eles o britânico John Howkins, autoridade mundial em Economia Criativa. Os vencedores serão anunciados em cerimônia realizada no Auditório Ibirapuera, em São Paulo, capital, em 3 de dezembro de 2014, com transmissão ao vivo para todo o país.








Babel das Artes entre os seis finalistas do Prêmio Brasil Criativo. Vote na gente na internet!

A Babel das Artes tem como projeto transformar este blog em portal colaborativo para mapear pólos de produção e iniciativas empreendedoras criando conexões do Artesanato com outros setores criativos como Moda e Design. O objetivo é fortalecer a cadeia produtiva para a sustentabilidade dos artesãos e garantir a preservação dos saberes e fazeres, valorizando o Artesanato como expressão cultural. Para Francisco Milhorança, estar entre os finalistas já é um motivo de comemoração. “Estamos felizes com a possibilidade de ganhar o prêmio. Só estar entre os selecionados já é pra nós, um grande reconhecimento”, diz.

Para nos ajudar a ganhar o prêmio vote na Babel das Artes na categoria Artesanato:
www.premioeconomiacriativa.com.br
 
fonte: babeldasartes @edisonmariotti #edisonmariotti

Peleando con la Luz del Museo · en CREACIÓN, MUSEOGRAFÍA, MUSEOLOGÍA, OPINIÓN, TECNOLOGÍA. ·

“La luz más brillante crea las
sombras más oscuras”.
Jess C. Scott


Las características de los espacios expositivos que debamos iluminar son decisivas, ya que cada espacio exige un proyecto individualizado que resalte sus virtudes, resuelva las necesidades de desarrollo para lo que la exposición va a ser montada y, además, ajuste la luz a las diferentes formas de exponer; o sea, casi nada. Nosotros siempre tenemos en cuenta, en primer lugar, la altura de los techos y los elementos destacables del espacio como pueden ser columnas, recodos, escalones, ventanas, claraboyas, etc. Los muros-paredes expositivos en el caso de museos de arte, son los que concentrarán toda nuestra atención y experiencia. Estas paredes se convertirán en fuentes de luz secundarias también, ya que proyectarán la luz con la que las bañemos. Entradas y salidas, donde se concentra la mayor parte del público, son zonas delicadas ya que se proyectan sombras continuamente.
Light Show – Hayward Gallery

Los “puntos calientes” de la sala, donde la mayor parte de los visitantes se parará por ser lugares de atracción y de atención, independientemente del contenido expuesto en ese lugar, será donde se proyectarán las sombras estáticas más inoportunas (las de los propios visitantes). La ubicación de las fuentes de luz natural (ventanas, claraboyas..) y de elementos extraordinarios como son los extintores, sismógrafos, cámaras del circuito cerrado de TV, la silla del vigilante de sala, siempre los sufrimos porque tienen una presencia desmedida en la sala, por eso deberemos tenerlos muy en cuenta para oscurecer su presencia. El tono de los suelos, los colores, los materiales usados en la construcción (liso, rugoso, brillante, opaco..) influyen de manera definitiva sobre el impacto de la luz en nosotros los visitantes espectadores. Si la base sobre la que trabajemos es blanca en toda la sala, será de gran ayuda para nosotros.
Alexander Kent “Personal”

Las soluciones de luz para un museo son las más delicadas que existen después de las aplicadas a un quirófano. Incluso dentro de un mismo museo deberemos usar diferentes tipos de escenificación lumínica. No es lo mismo iluminar una sala sobre gaviotas que otra sobre fósiles, u otra sobre pintura rupestre. El arte antiguo, los pequeños objetos, el metal, el cristal, obra de gran formato, volumétrica, bidimensional, con pantallas interactivas o solo audiovisuales, todo necesita una atmósfera lumínica creada y medida al milímetro (no todos tenemos la misma agudeza visual). La luz en un museo o espacio expositivo deben tener unas características especiales para la perfecta contemplación del contenido y para su correcta conservación. No vale cualquier luz, no se soluciona el problema en Ikea. No es barato y no se puede regatear en este apartado señores promotores, no se dejen embaucar por los comerciales de la iluminación. Lo barato sale muy caro, un tópico que aquí es una verdad como un templo de grande. Que luego no se extrañen de que los visitantes salgan del museo con los pelos de punta y gritando que nunca más volverán.
SOFTlab: beaux arts ball

Creemos que crear un sistema de iluminación sencillo, práctico y flexible es de vital importancia, ya que facilitará el futuro desarrollo de actividades sin influir en sus posibilidades, sin tener que hacer grandes cambios. Desgraciadamente, en la mayoría de los museos no se aplica una solución acertada de iluminación y eso hace que se menoscabe gravemente la manera en que percibimos las colecciones. Es inadmisible que la superficie de un lienzo brille, por ejemplo, o que estemos observando un objeto dentro de una vitrina y que el reflejo de nuestra cara, por muy guapos que seamos o creamos ser, se imponga sobre el objeto. La mala luz agota a veces incluso más que los largos recorridos. A veces salimos con la sensación de agobio de un museo y no sabemos exactamente la razón. Os lo vamos a revelar: mala iluminación. Hemos visto presupuestos de obra para un nuevo museo donde la iluminación es una partida mínima. Por eso nos ponemos tan pesados cuando comprobamos que se le cede toda la responsabilidad al arquitecto. La funcionalidad del edificio pasa por ser un museo, no un chalet de fin de semana o un centro comercial. Hay una cosa que se llama iluminación técnica museográfica (la luz Fórmula 1) de la que muchos arquitectos, la mayoría, no han oído hablar. Es la luz instalada para generar satisfacción sensitiva, para fomentar el estímulo creativo (lo hace), mejora la percepción de la realidad y nos relaja. Esencial.
8tEc6Yt
Foto principal: Mezquita Nasir al-mulk (Shiraz, Irán)

fonte: @edisonmariotti #eidosnmariotti     http://evemuseografia.com/2014/11/03/peleando-con-la-luz-del-museo/

Lisboa Palácio em Xabregas prepara-se para ser escola e galeria de arte

A lista de 'nãos' ia longa quando Dilen e Eurica Magan se tornaram inquilinos num palácio de Xabregas (Lisboa), onde oferecem aulas, planeiam a reabilitação do edifício e abrem as portas a qualquer projeto artístico.                                             
                             
Nas salas amplas, os azulejos setecentistas têm a companhia de instalações artísticas desde a inauguração do espaço, no final de setembro, assim como do material de trabalho de um tatuador mexicano, que prolongou a sua estadia.
PUB

Há ainda pátios, uma sala com material de som, onde decorre aos domingos a "baby disco" (discoteca para crianças/famílias). E um espaço com um bar e sofás, onde os fundadores do EKA explicam como querem partilhar o palácio com a população do bairro e do mundo.

Com experiências artísticas enquanto dirigiu profissionalmente duas empresas de telecomunicações em Londres (Inglaterra), Dilen Magan percebeu como gerir projetos "low cost [a baixo custo] e conseguir ter retorno": "Do nada, fazer alguma coisa", resumiu o músico à agência Lusa, defendendo que a arte pode ser um negócio.

Com o que viu pela Europa, Dilen critica a noção portuguesa generalizada de que "a arte vive do Estado" e, por isso, contactou com juntas de freguesia, câmaras e associações para apresentar a sua visão de que arte é também um serviço.

Da Santa Casa da Misericórdia recebeu a possibilidade de usar a Capela do Grilo, onde agora funciona o 'EKA chapel', que "oferece serviços de qualidade por um valor reduzido, nas áreas de vídeo, som, fotografia e eventos", além de aulas gratuitas de yoga para a terceira idade.

Apesar dos vários 'nãos' para conseguirem um local barato e dos fracassos de parcerias com instituições, Dilen e Eurica somaram participações em festivais nacionais de música, como em Sines e no Boom (Idanha-a-Nova), e procuraram arrendar um espaço "aberto da toda a gente".

Em conversa de café chegaram ao proprietário do palácio, que está ligado à construção civil, pelo que assegura a reabilitação estrutural, enquanto o coletivo EKA garante o resto, o que inclui os espaços ao redor do palácio para alugar a "preços low cost" para ateliês e residências artísticas.

No local, onde já funcionou uma escola primária e ocupado agora a "preço simbólico" pelos fundadores do EKA, também haverá um gabinete de empreendedorismo para apoiar quem quer criar o seu negócio, como artistas.

Nas tais salas com azulejos históricos vão funcionar workshops e formações, além de exposições, mas o EKA "não vai ficar com 70% ou 75% do resultado das vendas como as galerias", asseguram os fundadores.

Por ali também já passam estagiários de universidades e inscritos no centro de emprego para aprenderem a fazer um projeto de mapping, vídeo, a pôr música ou a pintar. Por concretizar em breve está um projeto de um desempregado, que ficará responsável pela estampagem de roupa.

Com a inauguração do espaço, o EKA Palace, foram bater àquela porta muitos artistas que se querem mostrar e, por isso, o EKA parou em outubro para calendarizar eventos em novembro e garantir que todos ali têm espaço para criar e mostrar.

Na apresentação do projeto, na página da Câmara Municipal de Lisboa, explica-se que na antiga vila operária, com uma área de 10 mil metros quadrados, há "tudo o que é preciso para começar a criar uma revolução cultural".