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sexta-feira, 14 de novembro de 2014

DIAPO. La façade du Musée océanographique de Monaco retrouve sa jeunesse

Les travaux se poursuivent sur la façade du Musée océanographique de Monaco. Objectif : dépolluer les pierres en calcaire attaquées par la pollution.

Travaux Musée océanographique

Les équipes du musée ont choisi un système cryogénique avec de microbilles de glace conditionnées à -78° de projetées à la vitesse du son sur la façade.


L’ensemble crée un effet dynamique qui décolle la pollution et les billes se transforment en gaz.


L'ensemble Nord de la façade devrait être achevé pour les fêtes de fin d'année.



fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.monacomatin.mc/monaco/diapo-la-facade-du-musee-oceanographique-de-monaco-retrouve-sa-jeunesse.1982991.html

Bibliothèque et musée: le profil type du visiteur décrypté à Genève

La Ville de Genève enquête pour connaître de manière approfondie les publics de la culture. Cette démarche menée en 2013 dans les musées et bibliothèques municipales sera ensuite étendue à l'ensemble des activités culturelles ainsi qu'au domaine du sport.



"Nous disposons des chiffres bruts de fréquentation des musées, mais pas de connaissances fines sur le public. Ce travail vise à le connaître qualitativement, à comprendre ses motivations", a expliqué jeudi devant la presse Sami Kanaan, magistrat en charge du Département de la culture et des sports (DCS) à la Ville de Genève.



"Ce travail nous permettra également d'avoir un outil d'aide à la décision pour faire évoluer l'accueil, fidéliser le public, séduire de nouveaux visiteurs. Il servira également au bon usage des deniers publics. En Suisse, nous sommes la première collectivité publique à le faire à cette échelle", a ajouté le conseiller administratif.



Test sur trois musées et les BM



Considéré comme une priorité par le magistrat, le travail d'enquête a été lancé pour la première fois en 2013. La méthodologie a été testée sur trois musées du DCS (Ariana, Musée d'art et d'histoire et Muséum d'histoire naturelle) ainsi que sur le réseau des Bibliothèques municipales (BM).



Dans les musées, quelque 200'000 personnes ont répondu à un questionnaire restreint de trois questions basiques et 3000 à une enquête comportant 33 questions. Dans les bibliothèques, ils ont été 1100, respectivement 35'000 à être interrogés.



Tendances surprenantes



L'enquête a réservé quelques surprises, a relevé Isabelle Naef, directrice de l'Ariana. "On pensait que le musée de la vaisselle et de la petite tasse à thé était plutôt fréquenté par des personnes âgées. Pas du tout: notre premier public est constitué par les 21 à 30 ans".



Autre source d'étonnement: la quasi-absence de public scolaire. "Nous allons essayer de créer des relais avec les enseignants", a indiqué Mme Naef.



L'enquête donne ainsi des pistes d'amélioration. Le musée a d'ores et déjà développé un petit coin famille, installé des tables tactiles, refondu le site web et assuré une présence sur les réseaux sociaux. Il va également installer une boutique, dont l'absence a été fortement déplorée par les personnes sondées.



Avec plus de 70% de visiteurs étrangers et les Chinois au deuxième rang, le Musée va également réfléchir à la difficile question de la langue.



Pratique sociable



De manière plus générale, les musées de Genève agissent comme des acteurs régionaux et internationaux en attirant des habitants d'autres cantons et des pays étrangers. Le public est composé pour les trois quarts de personnes ayant une formation tertiaire. Pour le conseiller administratif, cela montre qu'il faut encore travailler à la démocratisation de ces institutions.



Les enquêteurs ont également constaté que la visite des musées est une pratique de sociabilité: 80% des personnes interrogées s'y rendent accompagnées.



Lieu pour soi



La tendance est à l'inverse dans les bibliothèques municipales (BM), considérées comme un lieu pour soi: 91% des sondés s'y rendent seuls. Question fréquentation, 40% des usagers résident hors de la ville de Genève quand bien même il s'agit d'une institution de proximité, a constaté leur directrice Véronique Pürro.



Si 75% du public vient pour emprunter des documents, certains viennent aussi pour consulter des journaux ou simplement pour être au chaud sans n'avoir rien à payer, a-t-elle poursuivi. Parmi les points à améliorer dans les BM, les personnes interrogées ont notamment cité le wifi.



Elargissement



Ce n'est pas un "one shot", a souligné M. Kanaan. L'exercice se poursuivra sur la durée. Il sera élargi à d'autres institutions culturelles (Conservatoire, jardin botanique et Musée d'ethnographie notamment) mais aussi aux arts de la scène et aux activités sportives.



sda-ats

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti EconomieIMPRIMER ENVOYEZ CET ARTICLE

Plongez dans l'oeuvre de Camille Claudel au musée La Piscine

EXPOSITION - Jusqu’au 8 février, l'exposition "Camille Claudel, au miroir d’un art nouveau" met en lumière 150 œuvres de cette artiste majeure de la fin du 19e siècle, au musée La Piscine de Roubaix.


"La Valse ou Les Valseurs", 1889 - 1905. Paris, Musée Rodin Photo : Christian Baraja


Une artiste majeure. Le musée La Piscine à Roubaix fête les 150 ans de la naissance de Camille Claudel à travers une exposition-événement rassemblant plus de 150 œuvres. "Camille Claudel, au miroir d’un art nouveau" vous invite, jusqu’au 8 février, vers une nouvelle lecture sur l’apport essentiel à la sculpture moderne de cette artiste de la fin du XIXe siècle.

"Camille Claudel est une artiste de premier rang qui apporte à l’histoire de la sculpture un regard d’une grande singularité, ouvrant des ponts artistique, entre notamment une inspiration fortement autobiographique et un langage d’une sensibilité universelle", indique une porte-parole du musée La Piscine.

Un parcours chronologique

Tout au long de la visite, l'exposition suit un parcours à la fois chronologique et thématique, à travers onze étapes. "Cela permet de mettre en perspective ses créations avec certaines de ses sources et avec des oeuvres de ses contemporains", ajoute-t-elle.

Parmi ces thématiques, citons évidemment celle dédiée aux relations intimes et puissantes de Camille Claudel envers son maître Rodin, dont elle fut l'élève surdouée, la maîtresse éperdument amoureuse et dont l'oeuvre s'est largement inspirée à partir 1882.
Infos pratiques :

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.metronews.fr/lille/la-geniale-sculptrice-camille-claudel-s-installe-au-musee-la-piscine/mnkm!BH9UJRgBiyyo/

Exposition Camille Claudel (1864 – 1943), Au miroir de l’art nouveau
Jusqu’au 8 février 2015
Tarifs : 10 et 7 euros
Contact : 03 20 69 23 60 et www.roubaix-lapiscine.com

David Assaf parmi les concepteurs du musée d’Histoire des Juifs de Pologne

Le chef du Département d’Histoire juive de l’Université de Tel-Aviv se confie sur son rôle dans la création du musée Polin

Capture d’écran Musée Polin à Varsovie (Crédit : AFP)


Le Prof. David Assaf, chef du Département d’Histoire juive et directeur de l’Institut de recherche sur le judaïsme de Pologne de l’Université de Tel-Aviv a fait partie de l’équipe internationale de 120 chercheurs impliqués dans la création de l’exposition permanente du Musée de l’Histoire des Juifs de Pologne (Polin), inaugurée le 28 octobre à Varsovie, en présence des présidents de l’Etat d’Israël et de la République de Pologne.


Construit sur l’emplacement de l’ancien quartier juif de Varsovie, transformé en ghetto puis rasé par les nazis pendant la deuxième guerre mondiale, faisant face au Mémorial des Héros du Ghetto, le Musée Polin relate plus de 1000 années d’histoire de ce qui fut la plus grande communauté juive d’Europe à la veille de la Shoah (3.3 millions de personnes).


Fruit de la collaboration entre la Ville de Varsovie, le Ministère polonais de la culture et l’Association de l’Institut historique juif de Pologne, qui a réuni les fonds de donateurs privés du monde entier, le Musée est divisé en huit galeries, six pour la période précédent la Shoah, une sur cette période sombre, et une sur l’ère communiste.

David Assaf (Crédit : université de Tel Aviv)

Quelle est a été votre contribution à la création du Musée Polin ?

Dès le démarrage du projet en 2005, les responsables du Musée ont demandé l’aide et la participation de chercheurs israéliens.

Le musée s’est adressé à moi en tant que directeur de l’Institut de recherche sur l’histoire des Juifs de Pologne de l’Université de Tel-Aviv.

Je suis spécialiste de l’histoire de la société juive en Europe de l’est, en particulier du hassidisme, de la Haskala et de la société juive traditionnelle. Les responsables du Musée recherchaient des experts pour les différentes périodes de l’histoire.

Aussi, après la présentation du projet à l’UTA par les membres du Musée, j’ai été invité, avec deux autres chercheurs israéliens, à participer à l’équipe responsable de la mise au point de son concept historique.

Mais ma contribution essentielle réside dans la conception de la galerie du XIXe siècle, couvrant en fait une période prolongée allant du partage de la Pologne en 1772 jusqu’à l’instauration de la deuxième république polonaise en 1918. J’ai travaillé en collaboration avec deux autres historiens, l’un polonais non juif (le Prof. Marcin Wodzinski de l’Université de Wroclaw) l’autre juif américain (le Prof. Samuel Kasow).

Ainsi cette importante et vaste galerie sur le passage à la période moderne est le fruit de la conception commune d’historiens polonais, américain et israélien.

Pouvez-vous nous décrire en quelques mots l’activité de l’Institut historique juif de Pologne que vous dirigez à l’UTA ?

Notre Institut a été fondé en 1994 et il s’occupe principalement de la recherche universitaire sur l’histoire des Juifs de Pologne, par la publication de livres et d’études. Nous avons une revue importante en hébreu et anglais du nom de Gilad, nous organisons des conférences aussi bien scientifiques que destinées au grand public, des colloques et des journées d’études.

Mais notre objectif principal est d’encourager les jeunes à se tourner vers ce domaine. Nous octroyons des bourses aux étudiants israéliens et polonais.

Notamment, nous invitons tous les ans trois étudiants polonais qui écrivent leur doctorat sur des sujets juifs à passer un semestre à l’UTA, pour étudier l’hébreu et connaitre les chercheurs importants dans leur domaine.

C’est une entreprise primordiale, et qui malheureusement ne pourra se poursuivre si nous ne trouvons pas de donateurs qui nous aident à la financer.

Nous organisons également une fois tous les deux ans un atelier pour les étudiants de second et troisième cycles alternativement en Israël et en Pologne. Jusqu’à ce jour il y a eu quatre ateliers de ce type.

Comment pouvez-vous décrire votre collaboration avec l’équipe internationale des chercheurs ? Peut-on dire que le Musée est équilibré et concorde avec l’historiographie telle que nous la concevons ?

Prof. D. Assaf : La collaboration a été excellente. Nous avons créés des liens chaleureux avec les équipes polonaises, et depuis, je peux dire que l’UTA et l’Institut de recherche sur l’Histoire des Juifs de Pologne est devenu l’adresse principale du Musée Polin en Israël.

Mais il faut se rappeler qu’il s’agit d’un musée polonais destiné aux Polonais, pas un musée israélien ni un musée juif, et il y a donc une limite à notre l’influence et à notre intervention.

Je peux cependant affirmer que la conception historique du musée n’a pas été influencée par quelconque ordre du jour politique, national ou religieux, et qu’il y a eu au contraire un effort pour atteindre un consensus même là où il existe des dissensions historiques.

Les Polonais n’ont pas eu peur de se mesurer aux épisodes difficiles et sombres de leur histoire, antisémitisme, pogroms, et bien sur la Shoah. Il y aura toujours des critiques, mais il me semble que le Musée a passé honorablement le test de l’honnêteté et de la probité scientifique.

Au mois de mai 2015 il y aura à Varsovie un grand colloque d’historiens juifs du monde entier invités par le musée pour examiner l’exposition, et faire leurs observations. Ceci prouve également la volonté des responsables du Musée de présenter l’histoire telle qu’elle est, et le moins tendancieusement possible.

Quel est votre lien personnel avec la Pologne ? Comment avez-vous vécu l’expérience de la création du Musée ?

Je suis né en Israël, de parents nés à Varsovie qui ont immigrés en Israël avant la Shoah (ma mère a quitté la Pologne fin aout 1939 quelque jours avant l’invasion allemande).

Tous les autres membres de ma famille ont disparus pendant l’Holocauste. La maison de mes parents était au cœur du ghetto, à l’angle des rues Zamenhof et Ganesha (aujourd’hui la rue Anilévitch), juste en face du nouveau musée et du célèbre mémorial de Nathan Rapaport.

C’était bien sur très émouvant également sur le plan personnel. Je suis heureux qu’il y ait un lieu qui perpétue le patrimoine extraordinaire des Juifs du Pologne, mais c’est également triste, car ces Juifs ne sont plus et ont disparu de manière cruelle.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://fr.timesofisrael.com/david-assaf-parmi-les-concepteurs-du-musee-dhistoire-des-juifs-de-pologne/

VI Seminário SOS Azulejo Argamassas e Réplicas: problemas de convivência com o Azulejo.

Realiza-se no dia 5 de dezembro, na Universidade de Aveiro o VI Seminário SOS Azulejo Argamassas e Réplicas: problemas de convivência com o Azulejo.



O tema escolhido, subestimado por muitos, constitui uma problemática central da abordagem atual da azulejaria portuguesa. Assim, as comunicações e mesas redondas do presente Seminário responderão por um lado a problemas muito práticos que hoje se colocam a muitos profissionais e, por outro, apresentarão perspetivas novas em áreas tão multifacetadas como a intervenção municipal, a conservação e restauro, o estudo de materiais, a engenharia civil, e a arquitetura tradicional ou contemporânea.




PROGRAMA, INSCRIÇÃO GRATUITA MAS OBRIGATÓRIA (até 29 de Novembro) e + INFO em: http://www.sosazulejo.com/?p=1823




fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.sosazulejo.com/?p=1823

Base de Dados «Kit de Recolha de Património Imaterial»

A partir do próximo dia 13 de novembro, as Escolas e os Museus portugueses passarão a ter acesso à Base de Dados «Kit de Recolha de Património Imaterial», um novo recurso educativo para a sensibilização dos jovens para a necessidade de salvaguarda do património cultural imaterial.

Base de Dados «Kit de Recolha de Património Imaterial»


Esta nova Base de Dados foi desenvolvidapela Direção-Geral da Educação no âmbito de uma parceria estabelecida com a Direção-Geral do Património Cultural, com base na edição homónima deste organismo, premiada em 2013 na III edição do Prémio Ibero-Americano de Educação e Museus.




Acessível via sítio web da Direção-Geral da Educação, a Base de Dados é de acesso gratuito e destina-se a ser utilizada quer em contexto escolar, em particular em Escolas dos 2.º e 3.º ciclos do Ensino Básico, quer em atividades formativas e pedagógicas promovidas por outras entidades, nomeadamente Serviços Educativos de Museus, que poderão divulgar os resultados das suas recolhas na página de Facebook do «Kit de Recolha de Património Imaterial», também agora disponibilizada pela Direção-Geral do Património Cultural.




A Base de Dados «Kit de Recolha de Património Imaterial» promove uma abordagem integrada à realidade cultural das comunidades locais, através da utilização das suas diversas fichas, quer as destinadas à recolha de património imaterial (“Saberes e Ofícios Tradicionais”, “Tradições Festivas” e “Tradições Orais”), quer as de registo de património material (“Lugares”, “Edifícios” e “Objetos”), destinadas a uso conjunto num mesmo projeto educativo.




Tal como a publicação da DGPC que se encontra na origem da Base de Dados «Kit de Recolha de Património Imaterial», este instrumento educativo foi elaborado atendendo à importância que a Convenção para a Salvaguarda do Património Cultural Imaterial (UNESCO, 2003) confere à implementação de «programas educativos, de sensibilização e informativos destinados ao público, nomeadamente aos jovens», com vista a assegurar a valorização social do património cultural imaterial (artigo 14.º).




Para além das comunidades educativas de território nacional, esta Base de Dados poderá ainda ser utilizada pelos Museus e Escolas com currículo português, designadamente da CPLP, com vista à sensibilização das gerações mais jovens dos respetivos países para a salvaguarda do seu património imaterial.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://patrimoniocultural.pt/pt/news/comunicados/base-de-dados-kit-de-recolha-de-patrimonio-imaterial/

Hortas de Recreio no Museu do Traje ( .pt )

Em 2014 celebra-se o Ano Internacional da Agricultura Familiar que tem como objetivo promover, em todos os países, verdadeiras políticas ativas em favor do desenvolvimento sustentável dos sistemas agrários baseados em estruturas familiares, destacando o papel da agricultura na economia familiar e destacando o papel da mulher neste âmbito.


Cartaz


O Museu Nacional do Traje associa-se a esta iniciativa de nível mundial com o projeto Hortas de Recreio.


Este projeto, que decorre no parque botânico do Monteiro-Mor, visa proporcionar ao público interessado uma oportunidade de participar em atividades de sensibilização e aprofundamento da importância da utilização dos recursos naturais de forma sustentada, a partir das técnicas de cultivo e maneio de uma horta em modo de produção biológico e, em simultâneo, apoiar projetos que decorram no Museu e no seu parque.


Em linha com os objetivos estratégicos da Década da Biodiversidade 2011-2020 e para proporcionar este tipo de atividades e experiências de contacto com a terra, envolvendo recursos que a todos interessam e reconhecendo também a sua importância para a preservação e o incremento da biodiversidade, abre-se agora um período de inscrições para participação nas atividades do projeto Hortas de Recreio.


Em 2014 / 2015 estão disponíveis 20 talhões e, para se candidatar a desenvolver as atividades previstas num talhão, bastará preencher e enviar a Ficha de Inscrição, até 25 de Novembro próximo, para concorrer à participação neste projeto.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://patrimoniocultural.pt/pt/agenda/atividades-diversas/hortas-de-recreio-no-museu-do-traje/

A magia está de volta em «À Noite no Museu: O Segredo do Faraó»

Lideradas por Robin Williams, as figuras históricas que ganharam vida estão em risco no terceiro filme de Ben Stiller. O novo trailer legendado já está em exclusivo no SAPO Cinema.




«À Noite no Museu: O Segredo do Faraó», o terceiro filme da popular saga familiar, tem um novo trailer.

Robin Williams, Owen Wilson, Steve Coogan e Ricky Gervais regressam para as personagens que viveram nos filmes anteriores, mas as imagens também destacam novidades no elenco, nomeadamente Ben Kingsley no papel do faraó egípcio do título e Dan Stevens (Matthew Crawley em «Downton Abbey») como o cavaleiro Lancelot.

A história não foi revelada, mas o trailer confirma que parte da história se vai transferir para o Museu de História Natural de Londres, com Rebel Wilson a interpretar uma guarda noturna do museu britânico.

«À Noite no Museu: O Segredo do Faraó» estreia a 18 de dezembro em Portugal.

Museu de Arte Popular da Paraíba promove apresentação musical e lançamento de cordeis

O Museu de Arte Popular da Paraíba (MAPP) da Universidade Estadual da Paraíba (UEPB) realiza na próxima sexta-feira (14), a partir das 18h, uma apresentação musical, com o parceiro de Luiz Gonzaga, Jurandy da Feira, e o lançamento de dez folhetos de cordel, de autoria do bacharel em Direito, Marconi Araújo. O evento, denominado Sarau dos Três Pandeiros, tem o objetivo de promover a cultura nordestina e incentivar o lançamento de autores. A entrada é gratuita.







Natural da Bahia, da cidade de Tucano, Jurandy viu sua carreira deslanchar quando, em 1976, teve o privilégio de ser gravado por Luiz Gonzaga. A canção “Nos cafundó de Bodocó” esteve presente no disco “Capim Novo”. Em 1982, a parceria prosseguiu e no disco “Eterno Cantador” Jurandy emplacava outra composição sua: “Frutos da Terra”. Em 1983, “Canto do povo” esteve presente no disco “70 anos de sanfona e simpatia”. E, por fim, em 1984, no LP “Danado de Bom”, foi gravada a canção “Terra, vida e esperança”.

Com cinco discos lançados no mercado, Jurandy, que também desenvolve trabalho musical na linha da cantoria, apresentará ao público releituras de sucessos de Gonzagão, a quem dedicou um disco, em 2010, na ocasião do centenário de nascimento do Rei do Baião.

Já abordando temas do Direito ao formato da poesia popular, Marconi Araújo compôs os títulos “Justiça Federal: Competência e serviços”; “Juizados Especiais Federais e Turmas Recursais”; “Processo Judicial Eletrônico (PJE)”; “Leilão Eficaz e Empório Judicial”; “Naturalização”; “Perito e Defensor Público”. Além destes trabalhos, Araújo é autor ainda de outros quatro títulos: “A Musa do Serrotão”; “A Feira e suas mercadorias”; “O Cangaço e seu significado”; “Metas de família”.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.uepb.edu.br/museu-de-arte-popular-da-paraiba-promove-apresentacao-musical-e-lancamento-de-cordeis/

Comissão destina R$198 milhões para projetos na área de museus


Fomento 

Foram analisadas 33 propostas, sendo 27 apreciadas do Instituto Brasileiro de Museus e seis por outras entidades ligadas ao Ministério da Cultura

A 226ª Reunião da Comissão Nacional de Incentivo à Cultura (CNIC), realizada em Manaus (AM), entre os dias 4 e 6 deste mês, aprovou a captação de cerca de R$198,2 milhões para o financiamento de projetos na área de museus.

Foram analisadas 33 propostas, sendo 27 apreciadas pelo Instituto Brasileiro de Museus (Ibram) e seis por outras entidades vinculadas do Ministério da Cultura (MinC). Todas as propostas foram aprovadas.

O Ibram liberou a captação de R$ 186.456.598,38. Para os seis projetos restantes, analisados por outras vinculadas do Sistema MinC, foi aprovada a captação de R$ 11.739.749,48. A soma total liberada totaliza R$ 198.196.347,86.

As propostas aprovadas, que contemplam em sua grande maioria o financiamento de Planos Anuais de Atividades para museus, poderão agora captar recursos via Lei Rouanet.

Formada por representantes da sociedade civil e governo, a CNIC é o órgão colegiado que tem a missão de subsidiar as decisões do Ministério da Cultura (MinC) na aprovação dos projetos culturais com vistas à captação via renúncia fiscal.

 Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti Instituto Brasileiro de Museus
 

Associação de Museologia preocupada com entrega de museus públicos a autarquias ( .pt )

Lisboa, 12 nov (Lusa) - O presidente da Associação Portuguesa de Museologia (APOM), João Neto, disse hoje estar "muito preocupado" com o projeto anunciado pelo Governo de entregar a gestão de alguns museus da rede pública a câmaras municipais.

"Que garantias vão ser dadas de que os museus vão cumprir a sua missão e manter boas práticas na área da museologia?", questionou o responsável, contactado pela agência Lusa.

Na terça-feira, o secretário de Estado da Cultura, Jorge Barreto Xavier, anunciou, no parlamento, que está a ser ponderada a passagem de alguns museus da rede pública para a gestão de câmaras municipais.

Jorge Barreto Xavier falou no projeto durante a discussão, na especialidade, do Orçamento do Estado para 2015, perante os deputados das comissões de Educação, Ciência e Cultura e de Orçamento, Finanças e Administração Pública.

Para o presidente da APOM, o projeto levanta várias questões: "Tem de haver uma responsabilização e inspeção, e a Rede Portuguesa de Museus não tem funcionários suficientes para acompanhar o funcionamento dos museus".

No parlamento, o secretário de Estado da Cultura indicou que, no âmbito desta passagem, serão transferidos trabalhadores e montantes financeiros dos museus para as autarquias que os passem a gerir.

Jorge Barreto Xavier não adiantou que câmaras municipais vão receber a gestão de museus, mas indicou ainda que também serão responsáveis pela nomeação das respetivas direções.

João Neto defende que, a ser feita esta transferência de gestão de museus públicos para autarquias, "não pode ser certamente de um dia para o outro".

"Tem de ser uma transição muito bem pensada e com um período de adaptação", defendeu o presidente da APOM, lamentando que a Secretaria de Estado da Cultura não tenha ouvido entidades ligadas ao setor sobre uma questão que envolve "património que é de todos".

Alertou ainda que "se há autarquias que se interessam pela cultura e investem nessa área, como Mação, Penafiel, São João da Madeira, Portimão e Vila Franca de Xira, outras fazem-no de forma um pouco básica".

A APOM, que celebra 50 anos em 2015, distingue desde 1997 museus, projetos, profissionais e atividades desenvolvidas no setor com prémios anuais, atribuídos para incentivar a preservação e divulgação do património.

AG//GC.

Lusa/Fim

Fonte: Agência Lusa @edisonmariotti #edisonmariotti http://portocanal.sapo.pt/noticia/43134/

Agendas Mundi LX – Museos Indonesia · en CULTURA, MUSEOGRAFÍA, MUSEOLOGÍA, VIAJES. ·

Tuvimos nuestro primer contacto con Indonesia allá cuando éramos niños, leyendo los comics de Tintín como posesos. “Vuelo 714 para Sidney”… En esa historia, Tintín hacia escala en Yakarta, que de aquella nos parecía que era la capital de Marte. Pasaron los años, transformando Indonesia en la isla donde se casaban los horteras del famoseo couché, y un poco más tarde salió en los papeles por un terrible atentado terrorista que masacró mayoritariamente a turistas. El mercado turístico de la isla cayó en picado trasladándose a otros lugares del Pacífico fundamentalmente. Australia salió también bastante bien parada con el movimiento vacacional, poniendo a Bondi Beach en el mapa.

Indonesia, oficialmente la República de Indonesia, es un país insular ubicado entre el Sureste Asiático y Oceanía. El archipiélago indonesio comprende cerca de 17.508 islas, donde habitan más de 237 millones de personas, convirtiendo a Indonesia en el cuarto país más poblado del mundo. Además, Indonesia es el país con más musulmanes del planeta. Nosotros nos pasearemos hoy por sus museos más importantes.

Museo Nacional de Indonesia / Jakarta





El Museo Nacional de Jakarta tiene una colección de más de 23.000 objetos, algunos de ellos heredados del Oude Baraviasche Museum, hoy conocido como el Museo Wayang. La colección de objetos incluye piezas de la Compañía de las Indias Orientales con mapas históricos, pinturas, muebles y objetos arqueológicos de la prehistoria, algunas con inscripciones e incluso armas. El museo muestra la mayor colección de muebles de estilo Betawi de los siglos XVII y XVIII. Las colecciones se dividen en diferentes salas como la galería de la prehistoria de Jakarta con objetos arqueológicos y otras como la sala Jayakarta, Fatahillah, Sultang Agung y la galería MH Thamrin. El museo muestra también facsímiles de inscripciones Tugu de la época del gran rey Purnawarman, que es la muestra de que el centro de su reino Tarumanegara se encontraba en el puerto de Tanjung Priok en la costa cercana a Jakarta. También se muestra una réplica de un mapa del siglo XVI del sitio colonial portugués de Padrao, otra evidencia de la antigua historia del puerto de Kelapa. Sandokan hacia la puñeta a los navegantes un poco más al norte, en Malacca.

Museo de la Historia de Jakarta / Jakarta



Situado en la histórica zona de Old Jakarta Kota, Taman Fatahillah invita a visitar tres de los museos más interesantes de la ciudad. Una vez que el corazón de la administración colonial portuguesa en el siglo XVIII fue dejado en manos locales el lugar se fue deteriorando progresivamente, hace 40 años la plaza sufrió una importante restauración concretamente en la década de 1970. Había una fuente en el centro de la plaza que era el suministro de agua principal de la antigua capital colonial. El cañón portugués en el lado norte de la plaza se muestra como referencia señalizadora de la impresionante fuente de la fertilidad. El Museo Histórico de Yakarta muestra la historia del desarrollo de la ciudad de Yakarta, tanto de los acontecimientos históricos como la evolución de la comunidad local, desde la prehistoria hasta nuestros días actuales. Este museo está ubicado en un edificio que forma parte de los bienes culturales indonesios, que en el pasado era conocido como Stadhuis, el Ayuntamiento de Batavia. Como ha quedado escrito en una inscripción de la colección del museo, el edificio fue construido en 1707 por el gobierno de la ciudad de Batavia, durante el período de COV por el Gobernador General de Abraham van Riebeeck e inaugurado en 1710. Este edificio está situado frente a un parque, que en el pasado era conocido como Stadhuisplein, el City Hall Park, ahora llamado Taman Fatahillah.

Museo Mini Indonesia / Jakarta



Taman Mini Indonesia Indah (TMII) o Parque en miniatura indonesio” (traducido literalmente) es un área recreativa basada en la cultura se encuentra en el este de Yakarta, Indonesia. Tiene una superficie de cerca de 250 acres (1,0 km2). El parque es una sinopsis de la cultura de Indonesia, con prácticamente todos los aspectos de la vida cotidiana del país con 26 (desde 1975) provincias, cuyos objetos históricos están expuestos en pabellones separados, con colecciones de la arquitectura indonesia, ropa, bailes y tradiciones, todos están representados impecablemente. Aparte de eso, se puede visitar un lago con una miniatura del archipiélago en el centro de la misma. También hay teleféricos, otros museos, Keong Emas cine Imax, un teatro llamado Teatro de Mi Patria (Teatro Tanah Airku) y otras instalaciones recreativas que hacen TMII uno de los destinos turísticos más populares de la zona. Desde 2007 Taman Mini Indonesia Indah lanzó nuevo logotipo con la marca lema “Pesona Indonesia” (“Encanto de Indonesia”).

Museo Tekstil (Textil )/ Jakarta



Yakarta Museo Textil es una institución educativa cultural, que ha asumido la misión de conservar textil tradicional. Textiles siempre ha sido una parte importante de la vida en Indonesia como un componente del vestido y como un ritual y objetos ceremoniales. Constituyen un aspecto muy rico de la cultura de Indonesia y un testimonio del grado de conocimientos tecnológicos y la habilidad artística alcanzada por su creador. También proporcionan una ventana a las historias locales. En ella es posible para aumentar la apreciación pública de la tradición textil de Indonesia y la participación en la conservación del patrimonio nacional. Yakarta Museo Textil siempre hacen un esfuerzo por informar y educar a la gente a través de exposiciones, seminarios, talleres, investigaciones y publicaciones. Visión: Museo Textil como una institución sin fines de lucro que se convirtió en el centro de conservación de la naturaleza y la cultura, los medios de comunicación científica actividad, el arte y la cultura, la educación, la información y la recreación cultural, educativo que se convirtió en una de las referencias para el proceso del desarrollo de la nación.

Museo Casa Sampoerna / Surabaya



Sin duda, es la atracción más interesante de la ciudad, la Casa de Sampoerna. La casa museo es el hogar de uno de los fabricantes de cigarrillos Kretek, los más famosos de Indonesia (aunque es ahora propiedad de los Estados Unidos-del gigante Philip Morris). Aquí se muestra todo lo que hay que saber acerca de la industria del tabaco, haciendo de esta fábrica museo un lugar fascinante para visitar incluso para los no fumadores (su visita está recomendada por Lonely Planet, para más datos). Arriba hay una perspectiva a vuelo de pájaro de la tienda de la fábrica, donde cientos de mujeres enrollaban, recortaban y empaquetaban los cigarrillos de la marca Dji Sam Soe (prohibido en la mayoría de los países ya que el contenido de alquitrán enorme). Los rodillos que se pueden ver en el museo fabricaban 4.000 cigarrillos al día. Dado que el aire acondicionado puede estropear el tabaco, es un lugar húmedo y cargante a pesar de los antiguos ventiladores que mueven el aire de sitio más que refrescar.

Museo del Tren Ambarawa/ Semarang



El museo se centra en la exposición de locomotoras de vapor de la línea del ferrocarril, al día de hoy cerrada, en la estación de Ambarawa. El sitio de Ambarawa fue una ciudad militar durante el gobierno colonial holandés. El rey Guillermo I de Holanda ordenó la construcción de una nueva estación de ferrocarril para permitir al gobierno transportar sus tropas a Semarang. El 21 de mayo 1873 la estación de tren Ambarawa fue construido en un terreno de 127.500 metros cuadrados nada menos. Este lugar fue conocido en ese entonces como la estación de Guillermo I. La estación de tren de Guillermo I fue originalmente un punto de transbordara conectar con Yogyakarta Magelang al sur. Todavía es posible ver que los dos lados de la estación fueron construidos para dar cabida a diferentes tamaños de trenes. El museo del ferrocarril Ambarawa se estableció el 6 de octubre de 1976 en la estación de Ambarawa para preservar las locomotoras de vapor, que entonces estaban llegando al final de su vida útil cuando las vías de los ferrocarriles de Indonesia (el Perusahaan Negara Kereta Api, PNKA) cambiaron de ancho. Muchas de estas locomotoras están estacionados al aire libre junto a la estación original.

Museo de Bali / Denpasar



Las colecciones de objetos que se conservan en el Museo de Bali se pueden clasificar como la colección de objetos prehistóricos de Petrify Tumba (sarkopag), la colección de objetos procedentes de la era historia como: stupika arcilla que contiene la fórmula supersticiosa de Ye Te, las estatuas de bronce (hindú y Budha estatuas) y objetos de la etnografía Keris, Endek de tela, y objetos de la ceremonia religiosa Sangku, Cecepan y máscaras Sidakarya. En su evolución, ahora el Museo de Bali se ha convertido en el destino turístico más importante de la ciudad de Denpasar siendo un lugar perfecto y hacer cuartel general allí para visitar Bali. El desarrollo del Museo de Bali comienza por la existencia de la iniciativa red preservar la herencia de la cultura balinesa y el cuidado y difusión de sus costumbres ancestrales.

Museo Movie Stars Angkut / Jawa Timur





Este “museo” es en realidad un parque de atracciones que guarda una gran colección de coches fundamentalmente. Para los indonesios que están de vacaciones, es un lugar de obligada visita ya que ofrece lo mismo que nos podría ofrecer a los europeos con hijos pequeños EuroDisney en París o Walt Disney World de Orlando. Aquí se puede ver hasta un decorado 1:1 del Chicago de los años de Al Capone con sus coches sus tiendas y toda clase de artilugios de la época. El complejo también tiene piscinas, restaurantes de fastfood, montaña rusa, etc.

Museo Monte Galunggung / Tasikmalaya Regency



Tasikmalaya Regency es uno de los destinos turísticos más importantes de Indonesia, con una serie de atractivos turísticos. Son accesibles, a pesar de que la mayoría de ellos están situados profundamente en la zona rural de Tasikmalaya Regency. Los destinos turísticos de Tasikmalaya Regency ofrecen principalmente su belleza local y natural que no sea instalación recreativa establecida. En la zona sur, donde están las fronteras de Regency a con el Océano Índico, cuenta con cuevas y una serie de playas tropicales de arena blanca y fina. En el interior, donde la tierra en su mayoría es montañosa se caracteriza por la selva tropical, cascadas, aguas termales y sitios arqueológicos. Entre los destinos turísticos de Tasikmalaya Regency son Kampung Naga (Dragon Village). Cuenta con un tradicional pueblo exótico e idílico donde el habitante vive dentro de una fuerte tradición antigua Sudanés. Mientras cráter volcánico del Monte Galunggung ofrece un magnífico escenario, con un lago tranquilo rodeado de bosques tropicales. Un número de fuentes termales naturales se emiten cerca de la montaña, y se convirtió en parte de los destinos turísticos de Tasikmalaya Regency.

Museo de Geología de Indonesia / Bandung



El museo que anteriormente nombrado Geologische Dienst fue inaugurado el 16 de mayo de 1929. Este museo tenía 2 plantas de estilo Art Decó. La instalación museística está dividido en tres áreas de exposiciones: Geología de Indonesia en el ala oeste, la historia de la vida de Indonesia en el ala este, y la sala de geología de la vida humana en la planta superior. En este museo podemos encontrar muchos tipos de roca, minerales, fósiles, y varios artefactos de la ubicación en varios Indonesia. Cuenta con una gran cantidad de colecciones que incluyen información detallada. Éste museo es el más grande y más completo en el sudeste de Asia sobre patrimonio geológico de la zona.

La semana que viene nos trasladaremos desde Indonesia a Singapur, la ciudad-estado high tech elevada a la enésima potencia. Es una horita de vuelo. Singapur es el país en el que está prohibido casi todo, hasta conducir un coche sucio. País que es fumigado exhaustivamente todos los días a las 4 de la mañana, hasta el último rincón, y que tiene aire acondicionado en las calles comerciales. Ciudad-estado que esconde otra ciudad en el subsuelo. Lugar que tiene tiendas de joyas, como las del casino Marina Sands, donde hemos visto un collar en el escaparate de una de estas tiendas mostrando un collar valorado en 34 millones de euros, no exageramos, que lo hemos visto con nuestros propios ojitos de asombro y asco. La ciudad-estado que hace las delicias de los gastrónomos y de los aficionados a los hoteles de 7 estrellas. Singapur es el Mónaco oriental, y allá que vamos. Hasta entonces os deseamos que tengáis una feliz semana.

BIBLIOGRAFÍA:

NESSMANN, P.
En la otra punta de la tierra: la vuelta al mundo de Magallanes
Editorial Bambú, 2008.
Resumen del libro: Sevilla, 1519. El joven caballero de Malta, Antonio Pigafetta, oye que un navegante llamado Magallanes planea un largo viaje hacia las misteriosas islas Molucas de Indonesia, por una ruta que ningún hombre ha seguido jamás. Con gran emoción, Antonio decide unirse a la expedición.

URIBE, W.
Nanga
Editorial El Lector Universal, 2006.
Resumen del libro: Se llama Tim. Vive en una remota isla de Indonesia, entre la selva y el mar, aislado de cuanto le rodea. Hasta que un día ese refugio deja de serlo. Su anonimato, tal vez su vida misma, se ven amenazados. Rondan por la espesura algunas fieras sueltas, algún Nanga, y no queda más remedio que defenderse y huir.

BASSET, C.
Músicas de Bali y Java: el orden y la fiesta
Editorial Akal, 1999.
Resumen del libro: Catherine Basset ofrece en este libro un análisis magistral de una música que tanto ha intrigado a musicólogos y compositores occidentales. Por otra parte, nunca se había llevado tan lejos el estudio de los lazos que unen el universo musical del gamelan y el orden cósmico indo-búdico y la organización social de las sociedad es del arroz de Indonesia. En sus distintos capítulos ofrece también un periplo musical por Bali, Java y Sunda, que va desgranando las músicas y fiestas de las regiones mencionadas -imponentes gamelasn de los palacios, cacofonía de los santuarios, cabarés exóticos… El texto se completa con un disco compacto que incluye ejemplos de la música tratada. (Incluye un CD Rom).

Foto principal: Ario Wibisono para National Geographic