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quarta-feira, 26 de novembro de 2014

Les musées entrouvrent la porte aux malades d’Alzheimer

Le mouvement est encore balbutiant en France : « on n’a aucune visibilité, il n’y a pas encore de mise en réseau », a reconnu Bénédicte Capelle-Perceval, chargée de l’accessibilité à la Cité de la Musique où s’est tenu dernièrement le premier colloque en France sur le sujet. Si on recense dans le monde une centaine de musées qui ont mis en place des programmes « Alzheimer », en France, les initiatives se comptent sur les doigts d’une main.


par AFP


Camster2 / Wikimedia commons

Les musées français, de La Piscine de Roubaix au Musée de la Musique Porte de Pantin à Paris, commencent à ouvrir leurs portes aux malades d'Alzheimer, suivant l'exemple de pionniers comme le MoMa, le musée d'art moderne de New York, ou le Musée des Beaux-Arts de Montréal.




La Piscine de Roubaix mène un programme régulier depuis 2010. Dans d’autres musées, comme le Centre Pompidou et le Louvre, des formations du personnel d’animation sont en cours. Le Musée de la Musique va pérenniser l’an prochain le programme expérimental (8 sessions) conduit l’an dernier.

Plusieurs études avaient déjà montré l’impact positif de la musique sur l’état des personnes atteintes d’Alzheimer. Pour Carrie McGee, en charge du programme Alzheimer du MoMa, le plus ancien, avec une centaine de visiteurs par mois depuis 2006, les retours sont unanimes : « les personnes partent toutes plus heureuses qu’à leur arrivée ».

Approche sensorielle

« Le déclic s’est fait quand on a emmené des malades d’Alzheimer voir une exposition de peintures de Turner : le plaisir se lisait sur leurs visages », témoigne Anne-Marie Lasry-Weiller, à la tête de la fondation Swiss Life, partenaire de La Piscine pour le programme d’accueil de patients Alzheimer. L’animateur des visites à La Piscine, Julien Ravelomanantsoa, s’est inspiré de son expérience avec les enfants pour mettre en œuvre le programme Alzheimer. Le musée, situé dans un cadre exceptionnel puisqu’il s’agit d’une ancienne piscine, propose une approche sensorielle. Il travaille par exemple avec un parfumeur, pour associer des odeurs aux tableaux.

Les visiteurs sont aussi invités à s’allonger pour écouter une bande son restituant le bruit familier du bassin, avec ses cris d’enfants, son écho particulier… « Tout ça, ce sont des détonateurs de sens », explique l’animateur. « Ce que veulent avant tout les malades d’Alzheimer, c’est passer du bon temps ». Quand ils arrivent, Julien les embrasse, discute en prenant son temps avant de les embarquer pour une visite ou un atelier.

Car tous les témoignages insistent sur l’importance du « temps d’accueil » : offrir un café, des petits gâteaux, permet aux personnes de prendre leurs repères tranquillement.

Déclencheur de souvenirs

L’atelier, qu’il s’agisse de manipuler la terre comme à La Piscine, de peindre, dessiner ou de pratiquer la musique, permet une concentration étonnante. « Un malade s’était pris de passion pour un peintre et s’est mis à créer des œuvres magnifiques à partir de ses tableaux. On s’est aperçu que lorsqu’il peignait, ses mains ne tremblaient plus », constate Marilyn Lajeunesse, éducatrice au Musée des Beaux Arts de Montréal.

Ce musée accueille depuis 2009 des groupes de malades avec leurs accompagnateurs, famille ou soignants. Des expositions de leurs œuvres sont réalisées, « avec de vrais vernissages, très valorisants pour ces personnes qui se sentent souvent diminuées ».

La visite du musée, autour de quelques œuvres-clés, déclenche des souvenirs : « une vieille dame s’est souvenue en voyant un tableau de Van Dongen figurant une jeune femme en robe transparente que son père l’avait envoyée se rhabiller dans sa chambre parce qu’elle portait pour sortir une robe trop vaporeuse ». À Montréal, les patients repartent avec une reproduction d’une des toiles du musée : « ils peuvent en discuter avec leurs proches, cela prolonge la visite », souligne Mme Lajeunesse.

« On veut souvent légitimer tout comme étant thérapeutique », observe Jean-Luc Noël, président du comité Personnes âgées à la Fondation de France : « le jardinage est thérapeutique, la cuisine est thérapeutique, l’art est thérapeutique … Je pense qu’aller au Musée ne va pas guérir un malade d’Alzheimer, mais il va rompre son isolement, le faire sortir et partager un bon moment. Cela va ralentir la maladie et enrichir sa vie ».

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.gazette-sante-social.fr/15393/les-musees-entrouvrent-la-porte-aux-malades-dalzheimer

Le musée Van Gogh met Vincent à l'honneur dans son nouvel aménagement

Le musée Van Gogh d'Amsterdam a réaménagé sa collection permanente et mets à l'honneur la vie et l'évolution artistique du célèbre peintre notamment grâce aux lettres échangées avec sa famille et à ses dessins, moins célèbres que ses toiles.


ANP/AFP
Un visiteur passe devant un autoportrait de Vincent Van Gogh au musée d'Amsterdam le 25 novembre 2014

"L'histoire de sa vie et de sa carrière artistique sont désormais le fil rouge de notre collection", a affirmé à des journalistes le directeur du musée, Axel Rueger, lors de la présentation à la presse mardi soir.

Une dizaine d'auto-portraits sont désormais suspendus dans le hall d'entrée, permettant au visiteur de saisir l'évolution du peintre, décédé en 1890 à Auvers-sur-Oise, dans le sud de la France.

"Vincent van Gogh est souvent perçu comme un génie isolé", a expliqué à des journalistes Vincent-Willem van Gogh, l'arrière petit-fils du frère du célèbre peintre, Théo.

"Ce n'était pas le cas, il avait une correspondance soutenue, notamment avec sa famille aux Pays-Bas et avec des artistes comme Paul Gauguin", a-t-il ajouté.

Ces lettres ont reçu une place d'honneur dans le nouvel aménagement, tout comme de nouvelles explications sur les mythes entourant le génie.

Son oreille coupée, sa mort et sa maladie sont mieux expliquées qu'auparavant : "les visiteurs sortaient parfois du musée en se posant toujours des questions", assure à l'AFP l'une des guides du musée.

La palette du peintre, prêtée pour deux ans par le musée d'Orsay à Paris, où elle reposait dans les archives, est également exposée.

Dans ce nouvel aménagement, effectué salle par salle alors que le musée est resté ouvert au public, les célèbres toiles du maître ont reçu plus de place, notamment grâce à l'abattage de murs.

Les toiles sont mises en contexte, explique à l'AFP une guide : ainsi, des portraits de paysans, des études et des oeuvres de l'époque ayant exercé une influence sur le peintre sont présentées en compagnie de la toile "Les mangeurs de pomme de terre".

Les murs ont été peints de diverses teintes de vert, faisant notamment ressortir le jaune resplendissant des "Tournesols".

Le musée Van Gogh possède quelque 200 peintures et 500 dessins du peintre néerlandais et est visité chaque année par 1,5 millions de touristes.

Né aux Pays-Bas en mars 1853, Vincent van Gogh s'était installé en 1886 à Paris, où il a été influencé par les impressionnistes.

Selon la théorie la plus largement acceptée, Vincent van Gogh se serait suicidé en se tirant une balle dans la poitrine. D'autres croient au contraire qu'il a été tué par deux frères du village, soit par accident, soit de manière délibérée.

Museums and Cathedrals: In Art, We Trust

The new documentary by Frederick Wiseman, "National Gallery," allows us to spend three leisurely hours strolling through its galleries, gazing at iconic paintings of Old Masters and listening to museum docents talking about all these treasures.






The camera also takes us behind the scenes to observe the slow, meticulous process of restoration of paintings by museum conservators. It's impossible not to admire the huge amount of patience that is so essential to their craft.


With the help of the camera, we "spy" on museum curators and various officials debating the issues and logistics of everything that makes great museums run so smoothly. But, here is my small bone to pick with this otherwise luxurious armchair trip through the nooks and crannies of The National Gallery. Some of these people talk and talk and talk... they are very knowledgeable, but, being concise is not necessarily their strength. It's as if Mr. Wiseman felt it would have been disrespectful to edit the slightly verbose communication among all these museum professionals.

In spite of being an atheist, I often find myself having a good time in Churches and Temples wherever I go. Just give me impressive architecture and good art, and I am a happy to be there and to observe any ceremony taking place inside. That is definitely the case every time I go to the Cathedral of Our Lady of the Angels, here in LA.


Last weekend, I went there with my Fine Art of Art Collecting Class, to meet with well-known Los Angeles artist Simon Toparovsky, whose life-size bronze Crucifix graces the Cathedral's main altar. It's been a decade since this sculpture was installed, and the dark red patina on Jesus' feet has completely disappeared, as a result of worshipers kissing and touching its feet.


The timing of our visit coincided with the recent opening of Simon Toparovsky's exhibition, "Vessels and Channels," which occupies three Cathedral side chapels. Each chapel serves as a stage for elaborate installations, mixing photography and sculpture, with multiple references to Christianity and the mythology of Ancient Greece and Rome.


Some of the sculptures on display are rotating, its shadows slowly dancing across the walls. In one installation, we are confronted by what looks like a prison wall covered with vines. A small barred window is at eye level. You peer into the window and discover a beautiful landscape -- a glimpse of freedom composed by the artist's hand and imagination.


Smooth, nice, polished treatment of the bronze surface is not what Toparovsky is aiming for in his art. The textures of his sculptures are rough, as if slightly "tortured," and that's what makes his works feel so real, so appealing in their imperfection.

During the consecration of the Cathedral in 2002, we Angelenos were pleasantly surprised with the rather daring artistic choices made by the Los Angeles Archdiocese. Other artists besides Toparovsky commissioned to create works for the Cathedral were John Nava, Lita Albuquerque, and the late Robert Graham. One wonders if exhibitions of their art at the Cathedral might be in the works.

To learn about Edward's Fine Art of Art Collecting Classes, please visit his website. You can also read The New York Times article about his classes here.

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Edward Goldman is an art critic and the host of Art Talk, a program on art and culture for NPR affiliate KCRW 89.9 FM. To listen to the complete show and hear Edward's charming Russian accent, click here.
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.huffingtonpost.com/edward-goldman/museums-and-cathedrals-in_b_6222282.html

Stone age axe found with wood handle


Archaeologists in Denmark have uncovered an incredibly rare find: a stone age axe held within its wooden handle.

Low oxygen levels in the silt probably helped preserve the axe's wooden handle

The 5,500-year-old Neolithic axe was found during archaeological surveys ahead of a multi-billion euro tunnel project.

The axe seems to have been jammed into what was once the seabed, perhaps as part of a ritual offering.

The lack of oxygen in the clay ground helped preserve the wooden handle.

The find was made in Rodbyhavn on the Danish island of Lolland, which is to be connected to the German island of Fehmarn via the tunnel link.

"Finding a hafted [handle-bearing] axe as well preserved as this one is quite amazing," said Soren Anker Sorensen, an archaeologist at the Museum Lolland-Falster in Denmark.

Archaeologists have found other similarly well preserved organic material in the area during their excavations.

These include upright wooden stakes, a paddle, bows and other axe shafts.

Axes were vital tools for Stone Age people, who used them for working wood. However, they also played an important role during the introduction of farming to Europe, when the majority of the land was covered by dense forests.

The archaeologists suggest that the Neolithic communities of south Lolland may have been using the coast as an offering area.

Earlier this month, archaeologists working on the Fehmarn Belt Tunnel scheme announced that they had uncovered 5,000-year-old footprints along the edge of an ancient fish trap excavated at Rodbyhavn.

Footprints belonging to Neolithic people were also found during excavations at Rodbyhavn

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.bbc.com/news/science-environment-30197084

Art Museum Oddity Betrays the Bowie-Curious

CHICAGO — This is not really a review of the exhibition David Bowie Is.


It’s more a story of a childhood crush, an occasionally dazzling retrospective of a great musician’s life, and the weird rationale of the contemporary art museum.


Installation view, David Bowie Is, MCA Chicago. September 23, 2014 –January 4, 2015. (photo: Nathan Keay, © MCA Chicago)


Maybe you don’t like David Bowie, because his music left you cold, or you rolled your eyes at his repeated attempts at “acting,” or you think he’s just another aging rocker who makes people over fifty go misty eyed with nostalgia. I can’t say I’ve listened to much of Bowie’s music from the last 15 or 20 years, but in the early seventies, when I was a little kid and just waking up to the transformative power of pop music, David Bowie absolutely blew my mind, man. I can still recall his appearance on the British pop music show Top of the Pops in 1972, when he sang Starman dressed in a way that broke all the conventions of male fashion at the time. He was singing about a being from another planet, but he was also singing about himself, and offering a vision of strange glamor and beauty and other-ness that represented an escape from the drab, poverty-stricken surroundings of this northern English pre-teenager.


Installation view, David Bowie Is, MCA Chicago. September 23, 2014 –January 4, 2015. (photo: Nathan Keay, © MCA Chicago)

In the succeeding decades, the name Bowie has become synonymous for a musical artist who transformed his act every few years — the sound, the style of clothes, even the persona of the performer. An exhibition at the Museum of Contemporary Art (MCA), Chicago, attempts to document those changes by displaying material from five decades of performing, from the early sixties to today. In each room the visitor sees all kinds of memorabilia on the walls (photos, tour posters, Bowie’s drawings, drafts of song lyrics). There are the costumes, designed by some great names from the fashion world, including that gaudy padded jump suit worn for Starman, the Aladdin Sane kimono, the Pierrot outfit from the Ashes to Ashes video, and so on. The real coup is in the archived film and video footage. Some of it is presented on wall mounted monitors, but many rooms have these specially constructed stages which have front and back projections of TV and live appearances. Every visitor is given a personal set of Sennheiser earphones attached to a device that hangs around the neck, which relays the sound directly into your ears from one of these stage sets when you’re facing it or nearby. Watching the film of Bowie performing Life on Mars in an ice-blue suit and giant rings of blue make-up round his eyes, and hearing the song in crisp detail over the Sennheiser earphones, I confess I was transported back to 1973 in an almost out of body experience.

Yet in the end, I regret to say that I do have some problems with the show as a whole. When not listening to the music, it’s often difficult to see what case the show is making for Bowie as a figure of cultural significance beyond the fact that he made some brilliant songs and was a fantastically entertaining performer. Having heard the curator Michael Darling interviewed on local radio, I know the claims that are being made for this show in terms of how Bowie changed the worlds of fashion and set design as well as music. I just don’t think that this exhibition proves the case. There are too many rooms, basically, and too much stuff that’s presented as if we know the story already and we’re pre-disposed to loving it. Frankly, there’s a lot of filler.


Installation view, David Bowie Is, MCA Chicago. September 23, 2014 –January 4, 2015. (photo: Nathan Keay, © MCA Chicago)

I am also puzzled as to why this is in a contemporary art museum at all. The show originated in the Victoria and Albert (V&A) Museum in London, which makes more sense as the V&A has always been about the history of fashion and design. I can’t help feeling that it’s mainly a money spinner for the MCA, and at $25 a ticket and with so many people flocking to the show, I’m sure that David Bowie Is … will fulfill that purpose handsomely. The MCA could point to the Punk show at the Metropolitan Museum, New York, or the Jean-Paul Gaultier exhibition at the Brooklyn Museum, and say that they are merely following a trend. What troubles me is that these kinds of shows stretch the definition of contemporary art too far, and take away exhibiting time from younger-living-breathing contemporary artists (whether a painter or a performance artist).

So if you love David Bowie’s music and you live in the Midwest, you’ll almost certainly enjoy something in this show. If you’re lukewarm or merely Bowie-curious, I suggest you spend the money instead on a David Bowie greatest hits collection. David Bowie’s music is what he’s really all about, in the end, and you don’t need an art museum to tell you that.


Installation view, David Bowie Is, MCA Chicago. September 23, 2014 –January 4, 2015. (photo: Nathan Keay, © MCA Chicago)

David Bowie Is continues at the Museum of Contemporary Art, Chicago (220 E Chicago Ave, Chicago) through January 5.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti  
http://hyperallergic.com/164888/art-museum-oddity-betrays-the-bowie-curious/

Feminists and WWII Museum Reach Armistice in Battle Over Controversial Statue

A French feminist organization has scored a partial victory in its effort to have an allegedly sexist sculpture removed from the exterior of a World War II memorial and museum in Normandy. The Mémorial de Caen in Lower Normandy contains a sculpture by Seward Johnson (he of “Forever Marilyn” infamy) titled “Unconditional Surrender” featuring the central figures from “V-J Day in Times Square,” Alfred Eisenstaedt’s iconic photograph of a nurse and a sailor kissing — an image that has elicited its share of feminist critiques.










Seward Johnson’s “Unconditional Surrender” being installed in Caen (photo courtesy Le Mémorial de Caen, via Facebook)






Seward Johnson’s “Unconditional Surrender” outside the Caen World War II memorial (photo by@jamie6112/Instagram) (click to enlarge)


The group Osez le Féminisme! (Dare Feminism!) collected 864 signatures ona petition calling for the work’s removal shortly after it was installed on September 23. “We cannot accept that the Caen Memorial erected a sexual assault as a symbol of peace,” a spokesperson for the group told theDaily Mail at the time. “We therefore request the removal of this sculpture as soon as possible.”


After meeting with members of the group, the Mémorial’s director, Stéphane Grimaldi, announced that rather than remove the sculpture entirely, a plaque would be installed alongside it outlining the feminists’ grievances, according to the Agence France-Presse. The group and the institution will also co-organize a one-day conference in March 2015 on the “place of women in historiography.”


The plaque outlining the group’s objections will be installed tomorrow, November 25. “Unconditional Surrender” is on long-term loan to the Mémorial, and is scheduled to remain in place through September 2015.
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://hyperallergic.com/164576/feminists-and-wwii-museum-reach-armistice-in-battle-over-controversial-statue/?wt=2

8 chaussures volées au musée du camp nazi de Majdanek

78.000 prisonniers dont 60.000 Juifs y ont été exécutés dans ce camp de l'est de la Pologne 

 
"Tas de chaussures dans un camp de concentration nazi"Archives Yad VashemHuit chaussures de déportés ont été volées de l’exposition du musée de l’ancien camp nazi allemand de Majdanek (est de la Pologne), a indiqué à l’AFP sa porte-parole Agnieszka Kowalczyk-Nowak.

"La disparition des chaussures a été remarquée lors d’une ronde régulière d’un employé du musée samedi dernier. Le fil métallique de la grille contenant quelques centaines de chaussures au baraquement numéro 52 a été coupé", a-t-elle précisé.

"Après le décompte des chaussures, la disparition de huit d’entre elles a été constatée", a-t-elle précisé. "La police a ouvert une enquête".

C’est dans ce baraquement où ne sont exposés que des chaussures, que les visiteurs peuvent se rendre compte de la dimension des crimes nazis. "Plusieurs milliers de chaussures de victimes des nazis y sont exposés sur 280.000 au total qui se trouvent au musée", a-t-elle expliqué.

Selon les données du musée du camp, 78.000 prisonniers dont 60.000 Juifs y ont été exécutés, assassinés dans les chambres à gaz, ou sont morts de faim, de maladies ou d’épuisement au travail.

Au total, 150.000 personnes sont passées par ce camp.

"Nous ignorons les motifs de ce vol. Mais c’est une grosse perte pour le musée, ces objets ont une grande valeur historique", a déploré la porte-parole.

L’année dernière, un bonnet de prisonnier, retiré d’une vente aux enchères aux Etats-Unis, a été restitué au musée où il avait été volé il y a plus de vingt ans.

Il avait été placé sur le site e-Bay avec un prix de départ de 1.750 dollars américains.

 
"Majdanek"Wikipedia

Un antiquaire l’a signalé en juin au ministère polonais de la Culture qui a demandé au FBI américain de retirer cet objet de la vente. Finalement, le bonnet à été transmis au ministère polonais le 29 août par l’ambassadeur des Etats-Unis à Varsovie.

En 1989, l’ancien camp nazi de Majdanek avait fait l’objet d’un autre vol spectaculaire : un artiste suédois y avait volé des cendres de victimes d’un four crématoire.

En décembre 2012, Carl Michael von Hausswolff a exposé dans une galerie de Lund (sud de la Suède) une aquarelle peinte, selon lui, avec des cendres ramassées en 1989 au camp de Majdanek, diluées dans de l’eau.

Les justices polonaise et suédoise ont classé leur enquête sur ce vol, arguant de la prescription.

Le camp de Majdanek a été installé par l’Allemagne nazie près de la ville de Lublin en 1941 et a fonctionné jusqu’en 1944.

Avec AFP fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/52250-141125-8-chaussures-volees-au-musee-du-camp-nazi-de-majdanek

Museu de Paleontologia de Marília vai completar amanhã 10 anos de fundação

Fósseis foram encontrados no município, a partir de 1993 e estão no acervo

O Museu de Paleontologia de Marília completa amanhã 10 anos de existência. Inaugurado em 2004 pela Secretaria Municipal da Cultura, é o segundo museu do interior do estado com exposição permanente de fósseis de animais que viveram no período Cretáceo, entre 65 e 80 milhões de anos atrás, sendo uma das grandes atrações turísticas e culturais do estado e do país dentro desse contexto.

O museu reúne fósseis de dinossauros, crocodilos, tartarugas, peixes e outros organismos, coletados desde 1993 pelo historiador e paleontólogo William Nava, que também é curador da coleção e coordenador do museu.

Com a divulgação na mídia dos fósseis encontrados por Nava, que despertavam a atenção e curiosidade das pessoas, a Prefeitura Municipal inaugurou em 25 de novembro de 2004, via Secretaria Municipal da Cultura e Turismo, o Museu de Paleontologia, tendo Nava como curador dos fósseis e coordenador do museu.

Representa uma grande contribuição ao conhecimento científico nacional e internacional na área da paleontologia. Pode-se dizer que o museu é uma extensão, um braço das pesquisas de William Nava, que trabalha sem equipe, solitariamente nos sítios paleontológicos existentes entre as regiões de Marília e Presidente Prudente.

O museu está localizado no Centro da cidade, e vem se tornando um dos grandes potenciais culturais e científicos do estado, tendo em vista a raridade do material fóssil encontrado.

No museu podem ser vistos diversos ossos de dinossauros (principalmente de Titanossauros), fósseis de pequenos crocodilos e seus ovos fossilizados, peixes, troncos de árvores fossilizados, restos de tartarugas, banners ilustrativos, fotografias de expedições realizadas nos campos de pesquisa da região e mapa de ocorrências fossilíferas dentro do Grupo Bauru entre algumas atrações.

O museu já recebeu milhares de visitantes de Marília e da região, bem como visitantes de todas as capitais do país e de ap

A trupe realizou, neste mês, apresentações nas cidades de Presidente Alves, Pirajuí, Balbinos, Reginópolis e Iacanga.

O caminhão palco foi escolhido por ser uma forma eficiente de mobilizar e envolver a comunidade. Em Arealva, o caminhão palco ficará estacionado no Centro da cidade, na Praça da Matriz, e as apresentações acontecem em dois horários, às 9h e às 14h.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.jcnet.com.br/Regional/2014/11/museu-de-paleontologia-de-marilia-vai-completar-amanha-10-anos-de-fundacao.html

Estela do Guerreiro foi escolhida para o “Young Scenographers Contest” é um concurso internacional de design interdisciplinar com o objetivo de envolver os jovens designers a criar ideias inovadoras e criativas.

O EuroVision: Museums Exhibiting Europe (EMEE), que está a promover o “Young Scenographers Contest”, intitulado «One Object – Many Visions – EuroVisions», escolheu a estela com escrita do sudoeste da Abóbada, como uma das peças a trabalhar no âmbito desse concurso.


http://www.sulinformacao.pt/wp-content/uploads/2014/11/estela-da-aboboda-mesaabc.png




O EMEE é um projeto para o desenvolvimento dos museus nacionais e regionais da Europa, financiado pelo Programa Cultura da Comissão Europeia. Pretende criar abordagens inovadoras e interdisciplinares para os museus reinterpretarem os seus objetos no contexto da história da Europa.

O “Young Scenographers Contest” é um concurso internacional de design interdisciplinar com o objetivo de envolver os jovens designers a criar ideias inovadoras e criativas.

Pretende que se concebam novas ideias e se desenvolvam conceitos diferentes para expor os objetos museológicos, seja através de novos meios de apresentação ou de novos enquadramentos cenográficos, criando assim distintas abordagens e permitindo a fruição destes bens arqueológicos, numa perspetiva multidisciplinar e estimulante para as futuras gerações e dando-lhe ainda uma memória europeia coletiva.

Foram escolhidos pelas oito instituições europeias participantes 22 objetos. Do Museu Nacional de Arqueologia (representante nacional) foram escolhidas quatro peças, sendo que uma delas é a estela com escrita do sudoeste da Abóbada, a par de um vaso campaniforme, uma lucerna de terra sigillata e um candil.

O Projeto Estela é um dos parceiros do Museu Nacional de Arqueologia, na sequência da colaboração iniciada durante as Jornadas Europeias do Património.

O registo para integrar o concurso termina a 28 de Novembro, mas, para mais informações sobre como participar, os prémios, as datas de submissão de propostas, entre outras informações, pode visitar-se a página de internet do Young Scenographers Contest.

Segundo o Projeto Estela, a estela da Abóbada, achada em trabalhos agrícolas em 1972 perto da Aldeia dos Fernandes, Almodôvar, e apelidada como “Estela do Guerreiro”, precisamente por representar ao centro da inscrição com escrita do Sudoeste uma figura humana interpretada como um guerreiro, sempre «despertou, a nível peninsular, desde então e até à atualidade, um enorme interesse pela excecionalidade da associação entre a escrita e a representação humana».

No entanto, o local da descoberta fora apenas alvo de um breve registo, com uma notícia preliminar realizada por Manuela Alves Dias e Luis Coelho, sem nunca ter sido devidamente intervencionado.

Assim, para «esclarecer cientificamente o contexto deste sítio arqueológico (cronologia, tipo de estruturas, documentar os rituais funerários, etc.)», mas «também para recolher dados para poder contar ao visitante do MESA [Museu da Escrita do Sudoeste em Almodôvar], a história por detrás daquela figura apelidada de “guerreiro” que é hoje o símbolo deste núcleo museológico», o Projeto Estela promoveu campanhas arqueológicas em 2010 e 2011, na necrópole da Idade do Ferro da Abóbada.

Museu de Zoologia da Unesc é único catarinense presente no Fórum Nacional

No evento, representantes da Universidade socializam programa Arte Animal



O Museu de Zoologia da Unesc é o único museu do estado de Santa Catarina selecionado pelo Instituto Brasileiro de Museus) para expor no 6º Fórum Nacional de Museus. Dois representantes da Universidade estão participando do evento, que ocorre em Belém (PA) entre os dias 24 e 28 de novembro. "É uma oportunidade muito bacana estar aqui. Somos o único museu de Santa Catarina e é um orgulho um museu da Unesc representar o estado", comenta Morgana Cirimbelli Gaidzinski, coordenadora do Museu de Zoologia.

No Fórum, a coordenadora do Museu da Unesc e a bióloga Silvia Damiani Simões estão socializando o programa “Arte Animal”, que tem o objetivo de conscientizar ambientalmente crianças por meio da interação entre a arte e a ciência. Durante a abertura do evento, Morgana entregou ao presidente do Ibram, Angelo Osvaldo de Araújo Santos, um exemplar do livro de 10 anos do Museu.

Fórum Nacional de Museus

O Fórum Nacional de Museus é um evento bienal com o objetivo de refletir, avaliar e delinear diretrizes para o setor museal brasileiro, para a Política Nacional de Museu e para o Sistema Brasileiro de Museus. Ele envolve atores políticos federais, estaduais e municipais, academia, museus e outras instituições culturais, além da sociedade civil.

A sua sexta edição, o evento traz como tema “Museus Criativos”, apontando a criatividade como estratégia fundamental para a manutenção e o desenvolvimento de cada. A programação do encontro inclui conferências, painéis, minicursos, apresentações de comunicações coordenadas, grupos de trabalho temáticos, reuniões de redes e de sistemas de museus, além de programação paralela que visa valorizar a cultura local.

Colaboração: Davi Carrer - fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.engeplus.com.br/noticia/educacao/2014/museu-de-zoologia-da-unesc-e-unico-catarinense-presente-no-forum-nacional/

No Pará, ministra da Cultura abre 6º Fórum Nacional de Museus




Valorização 

Evento é realizado a cada dois anos e conta com conferências, painéis e minicursos para discutir experiências bem sucedidas na área


Foto:Thaís Mallon/Ministério da Cultura



Sexta edição do evento tem por tema os Museus Criativos


A ministra interina da Cultura, Ana Cristina Wanzeler, abriu nessa segunda-feira (24) em Belém (PA) o 6o Fórum Nacional de Museus, que neste ano tem como tema Museus Criativos. O fórum acontece até o dia 28 de novembro, no Centro de Convenções e Feiras da Amazônia.

"A criatividade encontra um local privilegiado e inspirador para ser tratada nessa atmosfera amazônica", destacou a ministra da Cultura em seu discurso.

O Fórum Nacional de Museus é realizado a cada dois anos pelo Ibram. Esta sexta edição conta com a parceria da Secretaria da Economia Criativa (SEC) do MinC.

Na programação, estão previstas conferências, painéis, minicursos, grupos de trabalho, apresentação de pesquisas, estudos de caso, reuniões paralelas e atividades culturais.

A edição 2014 traz ainda três destaques em sua programação: a realização da IV Teia da Memória ­- encontro nacional de Pontos de Memória e iniciativas de memória e museologia social -, o Encontro do Programa Nacional de Educação Museal (PNEM) e a revisão do Plano Nacional Setorial de Museus (PNSM).

Experiências regionais

A cada abertura de conferência ou de painel do FNM, haverá também, durante 15 a 30 minutos, a apresentação de casos da Região Norte do País que evidenciem boas práticas e experiências regionais envolvendo temas de interesse do setor. A iniciativa visa valorizar a diversidade de ações da região que, pela primeira vez, recebe o Fórum Nacional de Museus.

Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti Ministério da Cultura

Arte e Iluminación · en MUSEOGRAFÍA, MUSEOLOGÍA, TECNOLOGÍA


“Cuando enciendes una vela,
estás creando una sombra”.
Ursula K. Le Guin



Los humanos siempre hemos combatido la oscuridad buscando soluciones que nos permiten ver donde no hay luz. El fuego fue la primera herramienta que facilitó que el humano se despreocupara de las limitaciones que imponía la noche, haciendo posible, entre otras muchas cosas, pintar y observar la pintura en el interior de las cavernas y cuevas. La llegada de la electricidad cambió de forma radical la manera en que las personas percibimos nuestro entorno cuando no existe luz natural, y entonces las sombras dejaron de temblar. Hoy, siglo XXI, las personas peleamos con la luz artificial para conseguir la atmósfera adecuada, una iluminación que sea lo más natural posible, que se aproxime a la luz natural del día. No resulta nada fácil. Recordamos el día en que en una galería de arte de Copenhague observamos como las obras estaban iluminadas por 5 focos distintos entre si, y a cada cual más raro que el anterior. Las esculturas, en esa misma galería, no proyectaban sombras, algo nada fácil siendo además móviles. Pero no es tanto saber iluminar bien una obra de arte, es sobre todo evitar los daños producidos por la iluminación artificial. “No hagan fotografías usando el flash por favor”, ¿en realidad sabemos el porqué de esta prohibición?



Mark Garry, “The permanent present”

Para el control de la luz en una exposición de arte hay que tener en cuenta tres principios fundamentales:

1. Debemos limitar la intensidad de la luz.

2. Debemos erradicar la emisión de radiación ultravioleta (la que más daña la pintura).

3. Controlar el tiempo en que las obras están expuestas a la luz.



Sgustok Design, “Peel the light”

Si hemos eliminado la radiación ultravioleta, la limitación de la intensidad de luz es el primer punto más importante en el control de daños producidos por la luz: la decoloración o empalecimiento de los colores. Si se trata de la iluminación de obras antiguas que tienen un largo curriculum de exposición a la luz, la mala luz, la radiación ultravioleta, la sensibilidad se dispara. Los daños que se producen por la mala luz se suelen establecer en cuatro niveles: ninguna sensibilidad, sensibilidad débil, sensibilidad media y sensibilidad elevada. Anteriormente había tres categorías de sensibilidad de los objetos a la luz: 50 lux para los más sensibles, 150-200 lux para los menos sensibles y hasta 300 lux para los insensibles. El establecimiento de estos niveles no determina en realidad nada, sino el saber cuantos millones de lux por hora puede soportar una obra de arte antes de comience a degradarse su coloración. Los daños están, como os comentábamos, relacionados siempre con el tiempo de exposición a la luz. Si iluminamos la obra usando 50 lux constantemente, sin pausa, la obra se decoloraría totalmente en 600 años, no importa el soporte no el material usado en su creación.



Al Pacino by Cristopher Anderson

La eliminación de la radiación ultravioleta es otro caballo de batalla importante. Este tipo de rayos son los de onda más corta del espectro de luz, no formando parte de la luz visible. Tienen una enorme capacidad de penetración en los objetos – siendo destructivas también con nuestro cuerpo -. No pintan nada en la iluminación de un cuadro, están de más totalmente, sobran también en nuestra vida. La proporción de la radiación ultravioleta sobre las fuentes de luz es la siguiente:

- Lámparas incandescentes: 1%.

- Lámparas halógenas y fluorescentes: 1 a 2%.

- La luz del día: 6%.



Piergiorno Branzi, “La famiglia”

La fibra óptica no transmite este tipo de radiación. La radiación ultravioleta procedente de la luz natural se puede eliminar con el uso de claraboyas y ventanas aplicando filtros especiales, además de persianas, cortinas o lamas brise-soleil. El cristal por si mismo no deja pasar parte de las ondas más cortas, pero no pude eliminar las más intensas (en algunos museos no nos dejan usar el flash pero las obras están expuestas a la luz natural directa (?)). Hoy por hoy, la tecnología también ha avanzado muchísimo con la llegada de lámparas fluorescentes y halógenas que eliminan en su espectro de luz la mayor parte de radiación ultravioleta y también con el uso de filtros transparentes. La luz natural sigue siendo la mejor fuente de luz para iluminar una obra de arte y siempre que no genere sombras, pero erradicando previamente la radiación. Con relación a tiempo de exposición, decir que el uso de células de movimiento que encienden o apagan las luces en función de si hay personas o no en la sala, es una solución casi obligatoria para los museos de arte. El Neues Museum de Berlín expone papiros que se guardan en bandejas que solo se abren si el visitante lo solicita.



Dirtycartunes

De la temperatura y humedad hablaremos en otro post. Nos queda decir que, aunque el modo de iluminación de una obra para que pueda ser observada con la mayor naturalidad posible es un objetivo importante, lo es más que la obra no se vea dañada por una iluminación nociva. Los cuadros que están detrás de un cristal de protección, si queremos respetar la natural observación de la obra, no es una solución, además produce reflejos que desvirtúa totalmente el cromatismo. Las obras que se desplacen en explosiones itinerantes deben llevar, individualmente, su “receta” lumínica: tiempo y naturaleza de exposición que pueden soportar. En la política de préstamos este es un factor fundamental que no siempre se tiene en cuenta.



fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti Espacio Visual Europa (EVE)