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domingo, 29 de março de 2015

Un musée de la Shoah pour les enfants ouvrira dans un zoo de Varsovie




Le musée rendra hommage au gardien du zoo et sa femme qui ont caché des Juifs sous les cages pendant la guerre


"Warsaw zookeeper Jan Zabinski"

Un musée de la Shoah pour les enfants sera inauguré le mois prochain au zoo de Varsovie, où des Juifs ont été cachés et sauvés des nazis durant la Seconde guerre mondiale.



"Ce musée ne sera pas immense mais d'un point de vue de la commémoration, il s'agit d'un des plus importants en raison de son auditoire cible - les enfants", a déclaré Jonny Daniels, fondateur de l'organisation "From the Depths", à l'origine du projet de musée en collaboration avec la Fondation Panda, branche caritative du zoo.

Il comprendra la villa du directeur de la ménagerie, Jan Zabinski, et de son épouse, Antonina. En tant que lieutenant de la résistance polonaise, Zabinski a caché des Juifs dans les voies souterraines reliées aux cages d'animaux. Il a également utilisé le zoo pour stocker des armes pour la résistance.

Le musée abritera également le labyrinthe de tunnels et le piano rénové grâce auquel Antonina prévenait que des nazis approchaient, selon l'Agence télégraphique juive(JTA).

L'Israélien Moshe Tirosh, l'un des 300 Juifs dont la vies a été sauvée grâce à l'héroïsme peu connu du couple, a passé trois semaines au zoo, où il a vécu dans une chambre souterraine sans fenêtre avec sa sœur cadette. Pour des raisons de sécurité, les parents de Tirosh dormait dans une chambre différente dans le labyrinthe.

Lorsque Tirosh est arrivé au zoo, la plupart des animaux avaient été tués - certains dans des parties de chasse entre officiers nazis - ou expédiés vers des zoos allemands.

Déterminé à maintenir l'activité du zoo pour la résistance, Zabinski l'a transformé en un élevage de porcs, selon "La femme du Zookeeper", un livre sur le couple Zabinski publié en 2007.

Zabinski faisait parfois de la contrebande de viande de porc dans le ghetto juif, où l'interdiction de sa consommation fut largement abandonnée en raison d'une politique de famine imposée par les nazis aux Juifs, qui vivaient avec en moyenne 187 calories par jour.

"Au zoo, Antonina communiquait avec ses hôtes juifs grâce à un code musical," confie Tirosh à JTA.

"Elle jouait au piano et nous disait de ne pas bouger et de rester très calme si nous entendions cet air de musique jusqu'à ce qu'un autre nous indique que le danger était passé", raconte-t-il.

Tirosh a indiqué que la période au cours de laquelle il s'est caché au zoo a été l'une des seules où il ne se souvient pas de la douleur ou des souffrances.

Après avoir quitté le zoo, Tirosh et sa sœur sont allés vivre dans des familles d'accueil chrétiennes, où il a subi violence et a failli mourir. Après la guerre, Tirosh a été réuni avec sa famille. Son père est mort d'une crise cardiaque en 1948 et le reste de la famille a immigré en Israël en 1957.

Antonina est morte en 1971 et son mari en 1974. Le musée de Yad Vashem à Jérusalem a reconnu les Zabinski comme Justes parmi les Nations en 1965.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/65970-150329-un-musee-de-la-shoah-pour-les-enfants-ouvrira-dans-un-zoo-de-varsovie

Collection de dessins inuits : un trésor inestimable au Musée canadien de l'histoire

Le Musée canadien de l'Histoire, situé à Gatineau, tout près de la capitale canadienne, vient d’acheter une collection exceptionnelle de 1842 dessins Inuits qui date de 1964. Un témoignage fascinant des conditions de vie de ce peuple qui était alors en pleine transition entre le nomadisme et la sédentarisation…


L’histoire d’une aventureC’est à un professeur d’art que l’on doit cette collection unique en son genre. En 1964, Terrence Ryan est conseiller résident en art dans un studio de Cape Dorset. Il voit autour de lui les changements qui affectent les populations autochtones, l’abandon progressif du nomadisme pour la sédentarisation, l’installation dans des villages, etc. Il décide donc d’organiser une expédition en traîneau à chiens dans l’extrême nord de l’île de Baffin pour aller à la rencontre des communautés Inuits qui y vivent. Et il a l’idée géniale de demander à tous ceux qu’ils rencontrent de lui faire un dessin. Il donne papier et crayon aux enfants, adultes, vieillards. Certains d’entre eux vont dessiner pour la première fois de leur vie. Terrence Ryan récolte ainsi 1842 dessins réalisés par 159 personnes. L’aventure dure quatre mois.


Pendant des décennies, les dessins dorment dans des boites chez Terrence Ryan. Il vient de décider de s’en départir en vendant les dessins au Musée canadien de l’Histoire, moyennant un million de dollars. Bianca Gendreau, l’une des gestionnaires de l’institution, prend soin de m’expliquer : « Pour nous, ce n'est pas uniquement la valeur monétaire et la valeur artistique, ce qui est super important avec ces œuvres, c'est leur valeur documentaire, c'est la valeur d'information pas uniquement pour nous mais aussi pour les communautés Inuits parce que souvent ces œuvres dépeignent des choses qui ont disparu, des activités qui n'existent plus donc c'est vraiment un lien avec leur passé ».



Un testament collectif en quelque sorte d’une époque qui n’existe plus. Dessins de scènes de chasse au phoque, de pêche à la baleine, représentations de la vie quotidienne dans les tentes ou les igloos, illustration de traîneaux à chien, le principal moyen de transport des Inuits dans ces années-là, autant de précieux témoignages à la portée historique indéniable aujourd’hui.

« C'est vraiment un moment fixe dans le temps, ces œuvres-là sont finalement une bibliothèque d'art et de documentation sur la vie, les connaissances les croyances du peuple inuit... Ces dessins documentent non seulement une évolution de l'expression graphique mais aussi ce sont des documents des témoignages ethnologiques extrêmement importants pour nous » déclare Bianca Gendreau. 

« Ces dessins témoignent non seulement de ce mode de vie traditionnel, mais aussi du début d’un profond changement, a précisé Terrence Ryan. Je suis fier que cette collection vienne enrichir celle du Musée canadien de l’Histoire, car un plus grand nombre de personnes pourront les admirer tout en s’instruisant ».

Un peuple d’artistesChacun des dessins est signé par son auteur et le Musée dispose de notes sur chacun des auteurs. Certains d’entre eux sont d’ailleurs devenus des artistes. L’art inuit est très spécifique et très recherché dans le monde. On retrouve dans ces dessins ce qui caractérise cet art, la façon de reproduire les animaux, les scènes de la vie quotidienne, etc.

Les spécialistes du Musée sont en train de recenser les dessins, les rentrer dans la base de données de l’institution, les photographier et les préserver pour la postérité... Un travail de moine qui va durer au moins un an m’explique Bianca Gendreau : « Cela va permettre de conserver ces dessins dans les meilleures conditions possibles à tout jamais et ensuite de les rendre disponibles pour d'autres musées ou des communautés qui désireraient les emprunter parce que c'est ça qu'on voudrait essayer d'établir, c’est aussi la mission de notre musée. » 

Le musée espère également organiser dans un avenir proche une exposition pour que le public puisse à son tour admirer ce trésor si longtemps caché…

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://information.tv5monde.com/info/collection-de-dessin-inuits-un-tresor-inestimable-au-musee-canadien-de-l-histoire-25012

Музей храбрих воиной

Открылся музей самых храбрых евреев

Во время второй мировой войны они победили фашизм

память

В Израиле заложили первый камень музея еврейского воина второй мировой войны, строящегося на частные пожертвования бизнесмена русского происхождения Аркадия Гайдамака. Русские евреи во время церемонии спели президенту Израиля много советских песен и признались, что боролись в 1941-1945 годах за Израиль, а не за СССР. Вообще-то музей еврейского воина в Израиле уже есть, только он называется Музеем памяти танкистов. Создатели нового проекта, конечно, ценят подвиг еврейских танкистов, но недовольны тем, что не увековечены все остальные рода войск. К тому же в музее танкистов ничего нет про вторую мировую, а есть только про палестинские войны, "а это несправедливо и не идеологично, поскольку израильская армия — самая сильная в мире". Чтобы объединить всех воинов и их подвиги, новый музей, созданный на частные пожертвования, решили построить рядом с танковым. 

На церемонию закладки первого камня приглашенных российских журналистов вез одессит Гриша. Он живет в Израиле уже 12 лет, обожает свою страну и Ирину Аллегрову, которая на днях приедет с гастролями. О начале строительства Гриша ничего не знал, но идею одобрил, поскольку "по-настоящему подвиг еврейского народа еще никто не оценил, а народу это необходимо". На дороге, ведущей к мемориальному комплексу, было много юношей и девушек с автоматами. Они ждали президента и терактов, поэтому обыскивали посетителей несколько раз. Убедившись в благонадежности прибывших, работники службы безопасности тут же превращались в экскурсоводов и приглашали осмотреть мемориал. 

Среди многочисленных танков, принимавших участие в боях за независимость Израиля, бродили русские еврейские ветераны. Они с трудом переносили жару и искали место, где можно присесть, но обстановка в мемориале торжественная и печальная, поэтому сидеть там нельзя. Чтобы не нарушать сложившейся традиции, стулья для приглашенных поставили где-то за танками, и ветераны отправились их искать. 

С наступлением темноты перед импровизированным зрительным залом появился оркестр армии обороны Израиля и хор ветеранов под управлением Владимира Красницкого. Усевшимся пожилым зрителям предложили взять наушники с синхронным переводом на русский язык, но они "уж иврит-то, слава богу, выучили и понимают его прекрасно". 

Президент Израиля Моше Кацав (Moshe Katsav), вице-премьер правительства Натан Щаранский и заместитель министра абсорбции Юлий Эдельштейн пробирались на свои места в полной темноте и согнувшись. Когда они уселись, над площадкой закружил вертолет службы охраны. Зал зааплодировал, и ведущий объявил выступление хора ветеранов. Те нервничали и после неуверенного вступления двух баянистов попытались грянуть "Вставай, страна огромная...". Получилось у них плохо, поэтому песня была допета только до второго куплета. А потом началась обычная торжественная часть. В ходе выступления высокопоставленных гостей ветераны узнали, что в 1941-1945 годах с фашистами воевали полтора миллиона евреев, из них полмиллиона в частях Советской армии, но боролись они все за свободу Израиля. Каждый выступавший говорил о подвиге еврейского народа, его неоценимых заслугах в победе над "фашистским зверем" и стойкости самого смелого и сильного на земле солдата — еврейского. Через два часа выступлений оказалось, что победу в 1945 году одержали США и Великобритания без какой-либо помощи, но евреев во второй мировой участвовало больше, чем всех остальных. Русские евреи очень удивились и даже заплакали от счастья, "поскольку не ожидали, что их так ценят и любят". К президенту Израиля вышли две женщины с венком и бумажной лентой "Никто не забыт и ничто не забыто" и пропели ему известную уже только в Израиле советскую песню "Поклонимся великим тем годам". Чтобы усилить торжественность момента, после их выступления к микрофону подскочил один из хористов и прочел стихи собственного сочинения: "Мы мечтали к тебе возвратиться, поклониться святыням твоим, дорогая моя столица, золотой мой Иерусалим!" Президент закрыл лицо руками. 

Когда торжественная часть закончилась, ветераны стали расходиться. Настроение у них было грустное, кто-то даже пожалел, что не погиб на войне, потому что тогда о нем рассказали бы в музее. "Ничего, Миша,— говорила ветерану его спутница.— Зато теперь ты знаешь, ради чего тогда воевал. Признайся, что ты всегда мечтал сюда уехать". "Вообще-то я тогда об этом совсем не думал",— признался Миша.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti colaboração 

Шахноза Сиддикова

       
       ЕКАТЕРИНА Ъ-ФОМЕНКО
Подробнее: http://www.kommersant.ru/doc/339949

Museu da Imagem celebra Semana da Língua Francesa com exibição gratuita

Campo Grande, ( Mato Grosso do Sul, Brasil ) – Celebrando a Semana Internacional da Língua Francesa e da Francofonia, o Museu da Imagem e do Som, em parceria com a Aliança Francesa de Campo Grande, exibe nesta sexta (27 de março), às 19 horas, o filme “Os Intocáveis”, de Oliver Nakache. A entrada é franca.

Realizada sempre no mês de março, a Semana Internacional da Língua Francesa e da Francofonia tem por finalidade oferecer aos amantes da língua e da cultura gaulesa a oportunidade de festejar suas riquezas e diversidades. Gastronomia, música, palestras e mostras de filmes com a temática da língua estão na programação dos eventos realizados pelas Alianças Francesas do Brasil nesta semana.

Segundo Márcia Saddi, coordenadora da Aliança Francesa de Campo Grande, a entidade organizará atividades linguísticas e culturais com seus alunos. A exibição no Museu da Imagem e do Som do longa “Intocáveis”, grande sucesso de público e crítica em 2011, marca o encerramento da Semana na Capital.


“Intocáveis” é uma comédia que apresenta o encontro de um multimilionário tetraplégico com um auxiliar de enfermagem. A obra é extremamente interessante do ponto de vista francofônico pelo encontro do francês de origem francesa do personagem interpretado por François Cluzet e da linguagem de “sotaque” africano do enfermeiro senegalês, papel de Omar Sy.

No longa, Philippe (François Cluzet), um refinado multimilionário tetraplégico francês, precisa de um auxiliar de enfermagem para ajudá-lo nas suas atividades rotineiras. O contratado é Driss (Omar Sy), um senegalês radicado nos subúrbios de Paris que acaba de cumprir uma pena de seis meses de prisão e que não tem qualquer formação para o cargo. Porém Driss, de uma forma um tanto “errada”, faz Philippe ter prazer pela vida novamente.

Serviço: O Museu da Imagem e do Som fica no Memorial da Cultura, na avenida Fernando Corrêa da Costa, 559, 3º andar. A exibição está marcada para sexta, 19 horas. A entrada é franca.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.pantanalnews.com.br/contents.php?CID=102305

Museu Histórico do Tocantins, Brasil, recebe delegação chinesa na próxima segunda-feira

Na próxima segunda-feira, 30, o Museu Histórico do Tocantins, Museu Palacinho, receberá a visita de cinco membros do Memorial Chen Yun, localizado em Xangai, na China. A delegação chinesa será recebida às 14h30 pelo secretário da Educação, Adão Francisco de Oliveira, que também responde pela Secretaria da Cultura (Secult).

De acordo com o assessor cultural Cláudio Nogueira, a visita da delegação é um intercâmbio cultural e surgiu após a passagem de membros do Consulado da China ao Palacinho no ano passado. A arquitetura e a história do local encantaram a delegação chinesa, que sugeriu a visita aos membros do memorial Chen Yun.

O Palacinho foi a primeira edificação construída em Palmas, no ano de 1989, sendo utilizado para sediar a administração do Governo Estadual, até que as obras do Palácio Araguaia estivessem concluídas. Foi transformado no Museu Histórico do Tocantins em 18 de março de 2002. Sua arquitetura original encontra-se preservada e atualmente o acervo do museu reúne informações históricas e objetos para a apreciação dos visitantes.



fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://surgiu.com.br/noticia/193253/museu-palacinho-recebe-delegacao-chinesa-na-proxima-segunda-feira.html

Museu da Imagem e do Som - Campo Grande, Mato Grosso do SUL - Brasil, abre o projeto Mulheres: Diálogos e Desafios

Com auditório lotado e debate com a presença da promotora de Justiça Jaceguara Dantas da Silva, foi aberta na noite de quinta-feira (26) no Museu da Imagem e do Som o projeto “Mulheres: Diálogos e Desafios”, ação de iniciativa da Subsecretaria de Políticas Públicas para Mulheres, órgão vinculado à Secretaria de Direitos Humanos, Assistência Social e Trabalho (Sedhast). A ideia é que a partir deste primeiro evento, todas as últimas quintas-feiras sejam ponto de encontro para debates com o tema mulher.



Além da palestrante, a ação de abertura contou com a presença da governadora em exercício, Rose Modesto, também titular da Sedhast; subsecretária de Políticas Públicas para Mulher, Luciana Azambuja Roca; subsecretária de Políticas Públicas para População Indígena, Silvana Albuquerque, e das debatedoras Cleuza Pedrosa, presidente do Conselho Estadual dos Direitos da Mulher e Cris Duarte, presidente da ONG Bem Mulher.


O tema da noite, “As Mulheres na conquista e garantia dos Direitos Humanos”, foi abertamente discutido a partir da palestra da promotora Jaceguara, que iniciou seu discurso ao falar sobre a concepção contemporânea de Direitos Humanos a partir de convenções mundiais no pós-guerra. “Foi passo importante o reconhecimento de que todos são iguais perante a lei, mas ao lado da igualdade é importante que se tenha o direito à diferença”, falou ao inferir sobre os direitos das minorias, tema recorrente em discussões dos Direitos Humanos.

Dentro desse tema, as mulheres e as meninas passaram a ser reconhecidas também como sujeitos de direito. “A violência baseada no gênero reflete a relação de poder e até hoje não conseguimos reverter esse quadro”, apontou a promotora.

A subsecretária de Políticas Públicas para Mulheres cita que uma das ferramentas para a conquista dos direitos das mulheres passa por momentos como o debate aberto com a sociedade civil. “Tivemos várias edições do ‘Roda de Conversa’ em março para falarmos sobre o enfrentamento à violência e agora iniciamos esse projeto de debates, uma vez por mês”, destacou.

Também no evento, a governadora em exercício, Rose Modesto, reforçou a importância da iniciativa. “É debatendo, trocando informações sobre o tema que podemos avançar mais e construir políticas públicas efetivas para mulheres”, declarou.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.midiamax.com.br/cultura/254039-museu-imagem-som-abre-projeto-mulheres-dialogos-desafios-sedhast.html

Museu de Nova Iorque exibe maquete do ICC - Arquitetura de Brasília cruza as fronteiras e ganha o mundo

A arquitetura de Brasília cruza as fronteiras do Brasil e ganha o mundo. A exposição América Latina em Construção: a Arquitetura 1955–1980 (Latin America in Construction: Architecture 1955–1980) traz entre seus elementos uma maquete do Instituto Central de Ciências da Universidade de Brasília (ICC). 
As instalações passam a ocupar, a partir de hoje, o renomado Museu de Arte Moderna de Nova Iorque (MoMA). Outros dois projetos de Oscar Niemeyer serão exibidos: o Congresso Nacional e o Palácio da Alvorada.


Convidado para a abertura da exposição, o reitor Ivan Camargo destaca o reconhecimento internacional do prédio símbolo da UnB. “Eu me formei aqui, andei muito por aquele espaço. Hoje estamos trabalhando para resgatar e preservar o patrimônio arquitetônico do Brasil”, afirmou. O dirigente viajou na última sexta-feira para representar a instituição no evento. 

Em 1955, o MoMA realizou A Arquitetura Latino-Americana, um levantamento inédito da arquitetura moderna da região, dos primeiros momentos pós-guerra, 1945, até aquela data. Sessenta anos depois, o museu retoma o foco com América de Latina em Construção. Em comunicado oficial, o MoMA informa que está "retornando à região para oferecer uma visão complexa da posição, debates e criatividade arquitetônica do México e Cuba até o Cone Sul entre 1955 e 1980". A exposição termina no dia 19 de julho.
Fonte: Da redação do Jornal de Brasília @edisonmariotti #edisonmariotti