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sábado, 4 de julho de 2015

Le «nouveau» musée Henri-Martin à l'horizon 2018

Cette fois, la réhabilitation du musée Henri-Martin est lancée.

Lundi, le conseil municipal a voté le plan de financement. Les travaux débuteraient en septembre 2016.

Une image de l'entrée du musée./Illustration Beaudouin-Husson architectes, Raphaël Alguacil Cahors Mag-Ville de Cahors
Une image de l'entrée du musée./Illustration Beaudouin-Husson architectes,
Raphaël Alguacil Cahors Mag-Ville de Cahors 
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La gestation fut longue, la construction du projet s'est prolongée sur des années, les négociations ont été «incessantes» rapporte Michel Simon, premier adjoint. Pourtant, cette fois, la réhabilitation du musée Henri-Martin de Cahors est bel et bien sur les rails. 

Le plan de financement du projet de rénovation de l'ancien palais épiscopal a été adopté lundi soir en conseil municipal. À cette occasion, Michel Simon a présenté à l'assemblée un peu plus qu'une esquisse du projet.

Aujourd'hui, seul un tiers du bâtiment est utilisé. Les espaces consacrés à la muséographie seront augmentés de près de 50 %, avec 1 800 m2 d'exposition. Le projet, validé par l'architecte des Bâtiments de France, prévoit une extension sur l'aile nord dans un style contemporain, davantage de transparence, une connexion avec la ville avec un réaménagement de la cour et de l'entrée, et une ouverture sur le parc Tassart. Le coût des travaux, prévu au départ à 5 100 000 €, a été revu à la hausse, pour atteindre

5 864 000 €. Côté subventions et partenariat, l'État prendra à sa charge 22 % du coût des travaux (1 275 000 €) exactement comme la région Midi-Pyrénées (1 275 000 €), et le département devrait apporter une aide de 526 000 €. Au final la ville aurait à sa charge 45 % de l'opération, soit 2 637 000 €.

C'est trop pour Isabelle Eymes, pourtant d'accord sur le principe : «Près de 6 M€ hors taxes, c'est un projet pharaonique qu'il faudrait revoir à la baisse. En l'état actuel, nous ne le cautionnerons pas», fit remarquer celle qui mena la liste «Cahors l'humain d'abord». Un positionnement contesté par Bernard Delpech : «Si nous retirions ce projet de réhabilitation, plus aucune autre équipe municipale n'aurait les moyens de le mettre en œuvre, avec comme conséquence de fermer le musée et de priver les Cadurciens de leur histoire.»

«Pharaonique», le qualificatif a fait réagir un Jean-Marc Vayssouze calme dans le ton mais percutant dans les mots : «A titre de comparaison, les travaux à l'école Lucien-Bénac ont coûté 3 M€ sans les subventions ; c'est plus que pour le musée. Je crois qu'il y a une forme d'hypocrisie et de démagogie que d'être contre tout projet structurant. Nous, c'est dans ces moments difficiles que nous avons des ambitions pour la ville.» Le maire veut se situer dans la continuité d'un Anatole de Monzie qui avait imaginé le musée, et de tous ses prédécesseurs qui ont travaillé à son essor.

À l'instant du vote, Isabelle Eymes s'abstiendra, les élus de la majorité ainsi que Brigitte Rivière et Jean-Luc Maffre ont voté pour, seul Roland Hureaux absent mais qui avait donné un pouvoir a voté contre, jugeant le projet pas assez ambitieux…

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.ladepeche.fr/

série 1/5 - História e cinema: os filmes de Mazzaropi como fonte histórica.

INTRODUÇÃO

A pesquisa histórica experimentou um significativo avanço durante o século XX. As limitações impostas por meio do predomínio da historiografia de corte positivista foram superadas com a escola dos Annales, com o avanço da história social inglesa, com a historiografia norte-americana. Parte do considerável avanço da historiografia, no século passado, decorre da adoção e aplicação de conceitos de métodos desenvolvidos em outras áreas de conhecimento. A geografia, a economia, a sociologia e a antropologia possibilitaram a renovação do conhecimento histórico mediante a incorporação de novos problemas, novos objetos e novos campos de investigação (BURKE, 1997).




O desenvolvimento da historiografia decorreu do debate com outras áreas do conhecimento. Esse debate foi travado em várias frentes com o intuito de reafirmar a história como área de conhecimento fundamental para as ciências humanas. A afirmação da historiografia ocorreu sob um duplo esforço: incorporar parte do aparato conceitual das demais áreas do conhecimento e o fazer a partir de uma perspectiva eminentemente histórica. Entretanto, os efeitos da interdisciplinaridade não são avaliados consensualmente entre os historiadores. 

Francois Dosse (1994), por exemplo, afirma que a corporação de métodos e conceitos de outras áreas do conhecimento produziu uma história em migalhas. A fragmentação da historiografia expressa, na percepção do autor, a incapacidade de constituir uma historiografia que produza um conhecimento mais integral, apto a superar a compartimentação em objetos inadequados a uma compreensão mais efetiva da historicidade em que se inserem os problemas de pesquisa.

A ácida crítica de Dosse encontrou expressiva ressonância entre os historiadores. A historiografia assumiu a fragmentação identificada por Francois Dosse como o principal sintoma da crise da história. A significativa ampliação dos campos, áreas e problemas abordados por parte dos historiadores implicou na conquista de um escopo de interesses até então inéditos. 

A passagem ao século XXI ocorreu sem a resolução deste cenário. Neste artigo, é discutida a incorporação do cinema como fonte histórica, cuja compreensão estimula a busca da contribuição de outras áreas do conhecimento. Porém, a avaliação das possíveis contribuições do cinema à pesquisa histórica ocorreu com a busca da preservação da historicidade, com o intuito de evitar a fragmentação identificada por Dosse.

A elaboração de ferramentas pertinentes a incorporação de novos conceitos e metodologias estimulou pensar o cinema como expressão da historicidade, embora mediado por aspectos inerentes à indústria cultural. Para essa reflexão foi delimitada a filmografia do ator, empresário e cineasta Amâcio Mazzaropi, cuja extensa produção alcançou vasta popularidade por expressar os conflitos entre o rural e o urbano durante a urbanização brasileira. O artigo resultou da avaliação de parte dos conflitos presentes nos filmes do cineasta com intuito de dimensionar como exercer a interdisciplinaridade na utilização do cinema como fonte histórica.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti
produção bibliográfica de Giselle Gubernikoff

continuação: dia 06/07/2015 as 12:00hs série 2/5 

Giselle Gubernikoff
Possui o 1o. Ano de Jornalismo pela Fundação Armando Álvares Penteado (1971), graduação em Artes/Cinema pela Escola de Comunicações e Artes da Universidade de São Paulo (1976), mestre em Artes/ Cinema pela Universidade de São Paulo (1985), doutora em Artes/ Cinema pela Universidade de São Paulo (1992), livre-docência em Ciências da Comunicação/ Publicidade pela Escola de Comunicações e Artes da Universidade de São Paulo(2000). Professora Titular pela ECA USP em Artes Visuais/Multimídia e Intermídia na especialização Fotografia, Cinema e Vídeo (2002). Atualmente é professora titular do Departamento de Artes Visuais da Escola de Comunicações e Artes da Universidade de São Paulo. Tem experiência na área de Audiovisual/ Cinema, com ênfase em Produção, Roteiro e Direção Cinematográficos, atuando principalmente nos seguintes temas: mídias digitais e novas tecnologias de comunicação, linguagem cinematográfica, produção audiovisual, cinema publicitário, representação feminina, cinema brasileiro, cinema e consciência cultural e museologia e mídias digitais.
(Texto informado pelo autor)






Le Musée Juif aussi ce dimanche au premier DH Brussels Urban Trail

Ce dimanche 5 juillet, plus de 4.000 joggeurs prendront le départ du tout premier DH Brussels Urban Trail®. Dévoilé depuis un petit temps déjà, le parcours s'enrichit encore d'un lieu exceptionnel avec le Musée Juif. Le DH Brussels Urban Trail® est en outre le premier grand événement organisé dans le centre-ville devenu piétonnier. Les inscriptions sont encore possibles via le site internet ou sur place.

Belga

Le DH Brussels Urban Trail® est une randonnée découverte de notre capitale, baskets aux pieds. Le parcours de 10 km ne passe pas seulement devant et à travers les bâtiments célèbres, mais permet également de découvrir des trésors cachés du centre-ville. L'un des moments forts du parcours est le passage à travers le Musée Juif. "Jamais encore nous avions eu l'occasion à ce point de courir dans un musée et ses expositions. Ce passage ne semble pas évident, mais constitue la cerise sur le gâteau et rend le parcours d'autant plus unique", explique Greg Broekmans de Golazo sports. 

"Un événement sportif mettant l'accent sur le patrimoine culturel, c'est du jamais vu. C'est pourquoi le Musée Juif de Belgique souhaite également être de la partie. Quelque 4.000 participants visitant le musée et l'exposition temporaire "Henri Cartier-Bresson. Photographe", cela donnera des images incroyables", conclut Chouna Lomponda du Musée Juif. 

Figurent également au parcours: La Bibliothèque Royale, Manneken-Pis, La Senne, Le Boulevard Anspach piétonnier, la Place de Brouckère, la salle de cinéma Eldorado, Le Parc Royal, le Bozar, les Galeries Saint-Hubert et l'Hôtel de Ville. Le départ et l'arrivée sont prévus au Mont des Arts.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.sport.be/

Nouvelle directrice au musée

Changement à la tête de l’institution

Bernadette Walter remplacera Pietro Scandola.LDD/Patrick Christe


Du changement à la tête du Nouveau Musée Bienne (NMB). Lors de sa dernière séance, la Fondation Charles Neuhaus, l’organe responsable du fonctionnement du musée, a nommé Bernadette Walter au poste de directrice.

Dès le 1er janvier 2016, elle succédera à Pietro Scandola, qui part à la retraite, après 17ans. Il a été nommé directeur du Musée Neuhaus en 1998. Suite à la fusion des musées Neuhaus et Schwab en 2012, il a pris les rênes du NMB. «Pietro Scandola a notamment fait avancer de manière déterminante la réunification des deux institutions et donné un visage au NMB», se félicite l’institution dans un communiqué.

Pour la bonne cause

Bernadette Walter occupe depuis 2012 le poste de conservatrice du département Art / Collection Robert au NMB. Durant l’exercice de sa fonction, elle a réalisé de nombreuses expositions.

Bernadette Walter peut faire valoir une grande expérience du domaine muséal et de la recherche. Elle dispose en outre d’une formation en Management pour organisations à but non lucratif.

Parallèlement à ses activités biennoises, elle est engagée dans différents musées à Berne, Bâle et Zurich. Elle a également travaillé comme chercheuse scientifique pour l’Université de Berne et pour l’Institut suisse pour l’étude de l’art.

Bernadette Walter a régulièrement participé à des publications sur l’art suisse et les estampes. (c-dni)
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.journaldujura.ch/nouvelles-en-ligne/region/nouvelle-directrice-au-musee

Dealul Bucium - Începuturile acestei mănăstiri îşi au obârşia legată de întemeierea schitului românesc “Prodromul” din Sfântul Munte Athos în secolul al XIX -- The beginnings of the monastery have their origin linked to the foundation of Romanian hermitage "prodrome" of Mount Athos in the nineteenth

Dealul Bucium (jud. Iași) – străjuie cu peste 300 m altitudine orașul Iași și împrejurimile acestuia, făcând parte din Platoul Repedea. Platoul acestui deal este calcaros cu grote, abrupturi, doline fiind declarat rezervație geologică. Partea înaltă a dealului este împădurită dar spre poale sunt celebrele și întinsele podgorii de Bucium. De pe platoul somital avem cea mai frumoasă priveliște a Iașiului și a celor “7 coline”. Situat la 6 Km de Iași, în Comuna Bârnova, dealul Bucium cunoaște un puternic flux turistic în perioada sezonului cald. Acces: șoseaua națională ce leagă Iașiul de Vaslui urcă aproape de zona online casinos înaltă a dealului. 




Pisania mânăstirii


Din punct de vedere geografic, Dealul Bucium se află la limita îintre Câmpia Moldovei și Podișul Central Moldovenesc, făcând parte din Podișul Jijiei inferioare și al Bahluiului, alcătuit dintr-un relief aplatizat, cu văi largi ( lunci, terase) care au frecvent versantul drept cu caracter structural, cu văi obsecvente ș cueste ( asa cum este coasta Iașilor ). Climatul este continentalizat puternic, asigurând trecerea de la silvostepă la stepă.

În această zonă se află Mânăstirea Bucium



Începuturile acestei mănăstiri îşi au obârşia legată de întemeierea schitului românesc “Prodromul” din Sfântul Munte Athos în secolul al XIX - lea. În anul 1853, ieroschimonahii Nifon şi Nectarie, după ce au pus bazele întemeierii schitului athonit, au întemeiat la Bucium o mică sihăstrie cu rânduială de obşte asemănătoare celeia din Sfântul Munte, scopul acesteia fiind atât duhovnicesc cât şi misionar filantropic, pentru ajutorarea călugărilor români aflaţi în Sfântul Munte. Întemeierea schitului din Bucium a fost posibilă datorită donaţiei făcute de Grigore Alexandru Ghica Al II - lea, constituită din 3000 de galbeni şi o suprafaţă de teren de 4,1 hectare. Prima bisericuţă era încadrată într-o clădire patrulateră, nu avea turlă, având înfăţişarea unui paraclis, care a fost sfinţit în anul 1871.

Acest aşezământ monahal numit până în anul 1918 “Metoc” sau “Conacul Bucium”, a dezvoltat în zona Iaşului un centru de spiritualitate şi linişte duhovnicească, fiind de-a lungul timpului şi loc de tihnă pentru mitropoliţii Moldovei.

Schitul Bucium s-a dezvoltat considerabil după anul 1942, în urma cumpărării a 22 de hectare de teren de la Prinţesa Ioana Rosetti Roznovanu, care includea şi câteva construcţii printre care “Palatul Roznovanu”, “Casa de oaspeţi” şi “Atelierul de olane şi conducte din lut pentru aducţiuni”. Între anii 1950 - 1977, în timpul arhipăstoririi mitropoliţilor Sebastian Rusan ( 1950 - 1956 ) şi Iustin Moisescu ( 1957 - 1977 ) şi în timpul vrednicului de pomenire stareţ Hrisostom Apostolache, biserica schitului a fost extinsă şi împodobită cu pictură de către pictorul Vasile Pascu, într-un stil tradiţional autohton de inspiraţie bizantină, fiind resfinţită în anul 1967, odată cu finalizarea picturii. Ridicarea schitului la rangul de mănăstire are loc în anul 1993, cu binecuvântarea Preafericitului Părinte Patriarh Daniel, pe atunci Mitropolit al Moldovei şi Bucovinei şi prin hotărârea Sf. Sinod al Bisericii Ortodoxe Române.

Hramul mânăstirii este Sfinții Români

 
 Harta Zonala Dealul Bucium – Iasi



 fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti
colaboração: 
Gabriela Mangirov

www.turismland.ro › Moldova › Munti & Dealuri din Moldova
www.manastirea-bucium-iasi.ro


--in
Hill Bucium

Bucium Hill (jud. Iasi) - guards over 300 m altitude city of Iasi and its surroundings as part of the plateau quickly. Plateau this hill is limestone caves, slopes, was declared geological sinkholes. The high of the hill is wooded but to hem and vast vineyards are famous Bucium. The plateau celebrities have the most beautiful view of Iasi and the "seven hills". Located 6 km from Iasi, in the village Bârnova, Bucium hill knows a strong tourist flow during the hot season. Access: national road linking Vaslui City benefits of online casinos climbs close to the high of the hill.

Hill Zoning Map Bucium - Iasi

From geographically Hill Bucium is limited îintre Moldova and Central Moldavian Plain, part of Plateau and lower Jijiei Bahluiului, consisting of a flat relief, with broad valleys (floodplains and terraces) who frequent the right side structural nature, with valleys obsecvente et marbles (as Iaşilor coast). Continentalizat climate is strong, ensuring the transition from steppe to steppe.

In this area is Bucium Monastery

The inscription monastery

     The beginnings of the monastery have their origin linked to the foundation of Romanian hermitage "prodrome" of Mount Athos in the nineteenth

- Century. In 1853, Nectarios and Niphon ieroschimonahii after athonit hermitage founded foundation, founded a small hermitage Bucium with similar communal order of the Holy Mountain, its aim being both spiritual and philanthropic missionary, to help Romanian monks are the Holy Mountain. The foundation of Bucium hermitage was possible due to the donation of Grigore Alexandru Ghica II - consisting of 3,000 gold coins and a land area of ​​4.1 hectares. The first church building was framed in a quadrangular tower was not having the appearance of a chapel, which was consecrated in 1871.

This monastic settlement called until 1918 "subdued" or "Bucium Mansion" has developed in Iasi area a center of spirituality and spiritual tranquility, is the time and place of rest for the Metropolitans Moldova.

Hermitage Bucium developed considerably after 1942, following the purchase of 22 hectares of land at Princess Ioana Rosetti Roznovanu, which included several buildings including "Roznovanu Palace", "guest house" and "Workshop tiles and pipes Supplied clay. " Between 1950 - 1977, during arhipăstoririi Metropolitans Sebastian Rusan (1950 - 1956) and lustin (1957 - 1977) and during the commemoration worthy Abbot Chrysostomos Apostolache hermitage church was enlarged and adorned with paintings by painter Vasile Pascu, in a traditional local style of Byzantine inspiration, it is reconsecrated in 1967, with the completion of the painting. Raising the rank hermitage monastery takes place in 1993, with the blessing of His Beatitude Patriarch Daniel, the then Metropolitan of Moldavia and Bucovina and judgment St. Synod of the Romanian Orthodox Church.

Romanian monastery is patron saints