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quinta-feira, 27 de julho de 2017

Royal Museums of Fine Art - Les origines du Musée du Cinquantenaire. - Royal Museums of Fine Art - The Origins of the Cinquantenaire Museum - Royal Museums of Fine Art - As origens do Museu Cinquentenário

Du XVe au XVIIe siècle, des cadeaux diplomatiques, des souvenirs et des curiosités appartenant aux ducs de Brabant et, plus tard aux archiducs de Habsbourg, étaient exposés dans l'Arsenal royal, une grande salle aux alentours du palais du Coudenberg. Les premières collections qui se trouvent à présent rassemblées aux Musées royaux d'Art et d'Histoire virent ainsi le jour. Malheureusement, un grand nombre de ces trésors furent transférés aux musées impériaux de Vienne.



En 1835, le jeune État belge s'enrichit d'un Musée d'Armes anciennes, d'Armures, d'Objets d'Art et de Numismatique, sous la direction du comte Amédée de Beauffort, avec l'ambition de placer l'État indépendant dans une perspective historique. Les collections furent amenées dans le Palais Industriel, l'actuelle aile gauche des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique.

De la Porte de Hal au Palais du Cinquantenaire

L'institution qui, plus tard, reçut le nom de Musée royal d'Armures, d'Antiquités et d'Ethnologie, fit déménager ses collections vers la Porte de Hal, vestige de la deuxième enceinte de Bruxelles, qui venait juste d'être restaurée. Antoine-Guillaume-Bernard Schayes en fut le premier conservateur en chef. Les collections s'étoffèrent rapidement grâce à des dons importants comme ceux de Gustave Hagemans (1861) et d'Émile de Meester de Ravestein (1874).



Lorsque la Porte de Hal devint trop exiguë pour abriter le nombre toujours croissant de ces oeuvres, on décida de séparer les collections. Sous la direction du nouveau conservateur en chef Eugène Van Overloop, les oeuvres de l'Antiquité classique furent déplacées en 1889 vers le palais du Cinquantenaire, construit à l'initiative du roi Léopold II. En 1906, la collection ethnographique y fut également envoyée. La collection d'armes et d'armures resta à la Porte de Hal. Le nouveau complexe muséal du parc du Cinquantenaire prit alors le nom de Musées royaux des Arts décoratifs et industriels.

En 1912, l'appellation Musées royaux du Parc du Cinquantenaire vit le jour. Après l'édification du Musée de l'Armée en 1922, également logé dans le parc du Cinquantenaire, on décida de choisir un nouveau nom pour éviter la confusion. En 1926 donc, l'appellation « Musées royaux d'Art et d'Histoire » devint le nom officiel et l'est encore aujourd'hui.



En 1925, Jean Capart succéda à Eugène Van Overloop. Durant son mandat, les musées devinrent une institution scientifique de premier plan. L'entre-deux-guerres fut une période favorable pour les musées : les collections du Musée du Cinquantenaire s'accrurent, les finances augmentèrent et différents centres d'études furent créés. Plusieurs expéditions scientifiques furent organisées, comme celle à l'île de Pâques en 1934.

Le Musée du Cinquantenaire après la Seconde Guerre mondiale

Avec la Deuxième Guerre mondiale, les activités des MRAH s'arrêtèrent brusquement. Les collections furent mises en sécurité. En 1942, Henry Lavachery reprit le poste de Jean Capart. Immédiatement après la guerre, il commença une importante réorganisation de l'institution. En 1946, un grave incendie réduisit en cendres toute une aile du musée du Cinquantenaire. Une partie des collections qui y étaient rassemblées fut détruite. La reconstruction fut longue et difficile et ce n'est qu'en 1966 qu'on inaugura la nouvelle aile.

Les travaux furent dirigés de manière compétente par le comte Joseph de Borchgrave d'Altena, conservateur en chef de 1951 à 1963, et puis par son successeur, Pierre Gilbert. Entre-temps, ils s'occupèrent aussi de l'élargissement des collections (avec, entre autres, l'acquisition de la série de tapisseries « L'histoire de Jacob ») ainsi que d'une modernisation muséologique.



Les conservateurs en chef qui suivirent continuèrent cette politique de réorganisation et de rénovation. Dès le milieu des années 70, de grandes expositions temporaires furent organisées, amenant plus de dynamisme.







Cultura não é o que entra pelos olhos e ouvidos,
mas o que modifica o jeito de olhar e ouvir. 
A cultura e o amor devem estar juntos.

Vamos compartilhar.

Culture is not what enters the eyes and ears, 

but what modifies the way of looking and hearing.






--in
Royal Museums of Fine Art - The Origins of the Cinquantenaire Museum

From the fifteenth to the seventeenth century, diplomatic gifts, mementoes and curiosa owned by the Burgundian dukes and subsequently the Habsburg archdukes were displayed in the Royal Arsenal, a large hall in the vicinity of the palace on the Coudenberg. It was there that the first collections were established that are now housed in the Royal Museums of Art and History. Regrettably, a large number of art treasures and objects were removed to the imperial museums in Vienna in 1794.

In 1835, with the intention of giving the independence of the young Belgian State an historical perspective, a Musée d’Armes anciennes, d’Armures, d’Objets d’Art et de Numismatique was established, headed by Count Amédée de Beauffort. The collections were moved to the Palais de l’Industrie, the left wing of the present Royal Museums of Fine Art.

From the Halle Gate to the Cinquantenaire palace

Subsequently named the Musée royale d’Armures, d’Antiquités et d’Ethnologie, the institution transferred its collections to the recently restored Halle Gate, a surviving gate of the old city wall ringing Brussels. The first head curator was Antoine-Guillaume-Bernard Scheyes and the collections expanded rapidly, thanks to important bequests from such persons as Gustave Hegemans (1861) and Emile de Meester de Ravestein (1874).

When the Halle Gate became too small to hold the continually increasing number of items, the decision was taken to split the collections and in 1889, under the new head curator, Eugène Van Overloop, the objects from Classical Antiquity were moved to the Cinquantenaire palace, which had been built on the initiative of King Leopold II. In 1906, the ethnographic collection was likewise transferred there, the collection of arms and armour remaining at the Hallepoort. The new museum complex at the Cinquantenaire was named the Royal Museums of Decorative and Industrial Art.

That name was changed in 1912 to the Royal Museums of the Cinquantenaire, but, to prevent confusion, had to be changed yet again when the Musée de l’Armée was established in 1922 at the Cinquantenaire, too. The institution now became the Royal Museums of Art and History, a name that was officially confirmed in 1926 and that has remained unchanged to the present day.

In 1925, Eugène Van Overloop was succeeded by the Egyptologist Jean Capart, during whose term of office the museums became a leading scientific institution. Indeed, the inter-war years proved to be an auspicious period for them: the collections of the Cinquantenaire Museum were expanded, funds increased and various research centres were set up; in addition, various scientific expeditions were organized, one of them to Easter Island in 1936.

The Cinquantenaire Museum after the Second World War

The Second World War brought a sharp halt to the activities of the RMAH. The collections were taken to safety and, in 1942, Henry Lavachery took over from Jean Capart. Immediately after the war, he began a thorough reorganization of the institution. In 1946, a fierce fire reduced an entire wing of the Cinquantenaire Museum to ashes, as well as destroying part of the collections housed there. Rebuilding took time and it was only in 1966 that the new wing was inaugurated.

The work was expertly led by Count Charles de Borchgrave d’Altena, head curator from 1951 to 1963, and by his immediate successor Pierre Gilbert. All the while, they were expanding the collections (with, among other things, the series of tapestries (The History of Jacob’) and modernizing in museological terms.

Their successors as head curator have continued the work of reorganization and renovation and since the mid-1980s have seen some eighty, big, temporary exhibitions being organized, adding to the institution’s dynamism.










--br via tradutor do google
Royal Museums of Fine Art - As origens do Museu Cinquentenário

O XV ao século XVII, presentes diplomáticos, lembranças e curiosidades pertencentes aos Duques de Brabante e mais tarde o Arquiduque de Habsburgo, foram expostos no Royal Arsenal, um grande espaço ao redor do Palácio de Coudenberg. As primeiras coleções que agora estão reunidos no Museu Real de Arte e História e nasceram. Infelizmente, muitos destes tesouros foram transferidos para o Museu Imperial de Viena.

Em 1835, o Estado belga jovem ganha um antigo Museu de Armas, Armor, de objectos de arte e de moeda, sob a direção do Conde Amédée Beauffort, com o objectivo de colocar o estado independente em perspectiva histórica. As coleções foram trazidos no Palácio Industrial, a asa atual esquerdo do Museu Real de Belas Artes da Bélgica.

Porte de Hal no Palais du Cinquentenaire

A instituição mais tarde se tornou conhecido como o Museu Real de Armaduras, Antiguidades e Etnologia, havia se mudado suas coleções para o Porte de Hal, os restos da segunda parede de Bruxelas, que tinha acabado de ser restaurado. Antoine Guillaume Bernard Schayes foi o primeiro curador-chefe. As coleções são concretizados rapidamente através de grandes doações, como os de Gustave Hagemans (1861) e Emile Ravestein (1874).

Quando o Porte de Hal se tornou demasiado pequeno para abrigar o número crescente destes trabalhos, decidiu-se separar as coleções. Sob a liderança de novo curador-chefe Eugene Van Overloop as obras da antiguidade clássica foram transferidos em 1889 para o palácio do Cinquentenário, construído por iniciativa do rei Leopoldo II. Em 1906, a colecção etnográfica também foi enviado para lá. A coleção de armas e armaduras permaneceu no Porte de Hal. O novo complexo de museus do Parque Cinquentenário, em seguida, tomou o nome de Museu Real de Decorativas e Industriais Artes.

Em 1912, o nome real Museus do Parque Cinquentenário nasceu. Após a construção do Museu do Exército em 1922, também alojado no Parque Cinquentenário, decidimos escolher um novo nome para evitar confusão. Em 1926, portanto, o nome "Royal Museus de Arte e História" tornou-se o nome oficial e ainda é hoje.

Em 1925, Jean Capart conseguiu Eugene Van Overloop. Durante seu mandato, o museu tornou-se uma instituição científica líder. O período entre guerras foi um período favorável para museus: coleções Cinquentenário Museu foram aumentados, finanças aumentou, e vários centros de estudo foram criados. Várias expedições científicas foram organizadas, como a Ilha de Páscoa, em 1934.

O Museu Cinquentenário após a Segunda Guerra Mundial

Com a Segunda Guerra Mundial, as atividades de Mrah parou abruptamente. As coletas foram feitas segura. Em 1942, Henry Lavachery retomou o cargo de Jean Capart. Imediatamente após a guerra, ele começou uma grande reorganização da instituição. Em 1946, um grave incêndio reduziu a cinzas uma ala inteira do Museu Cinquentenário. Parte das coleções que estavam reunidos lá foi destruída. A reconstrução foi longa e difícil e não foi até 1966 que inaugurou a nova ala.

O trabalho foi conduzido com competência por Borchgrave Joseph Earl Altena, curador-chefe 1951-1963, e depois por seu sucessor, Pierre Gilbert. Enquanto isso, eles também ocuparam a expansão das coleções (com, entre outros, a aquisição da série de tapeçarias A história de Jacob "), bem como a modernização museu.

Os principais curadores que se seguiram continuou a política de reorganização e renovação. Em meados dos anos 70, foram organizadas grandes exposições, trazendo mais dinamismo.

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